Lune de l'Aube Admine deglinguée & Lieutenante de la Nuit sans Lune
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Age : 25 Messages : 79 Localisation : J'ai un couteau... et je suis, devine où ? à la plage ! x] Nan, je suis en France, en Moselle, en Lorraine, à Metz, chez moi, dans ma chambre, devant l'ordinateur Date d'inscription : 12/06/2011
![Scathach Powa ! [Corrigé] Empty](https://2img.net/i/empty.gif) | Sujet: Scathach Powa ! [Corrigé] Jeu 21 Juil - 10:54 | |
| Votre PUF : Scathach Votre âge : 11ans et demis Depuis combien de temps sur le forum ? euh, un jour après sa création Quel thème ? le thème n°1 Avez dejà été évaluer ? Non, c'est ma première fois !!! Votre exercice :RÉDACTION DE SCATHACH !!![attention les mirettes]
La vie ailleurs Destiny xx.Décision...Difficile.xx ♫ Destiny will you show them for eternity♫ Troubles of life ♫ Destiny will you keep the world ♫ From falling into darkness ♫ - La vie ailleurs, une vie meilleure, par delà la forêt, t'attend une vie palpitante. Voilà ce que répétais sans cesse une voix, une voix mélodieuse, envoûtante, comme si elle voulait vous endormir.Je m'habituait à cette voix, devenue mélodie, puis ensuite bourdonnement. Une vie ailleurs, où ? je ne savais pas. Pourquoi partir ? je suis très bien ici, mes bipèdes m'aiment me dorlotent, me caresses, me chatouilles, qu'y a-t'il de meilleur, que la belle vie, sans rien faire, où tout vous tombe du ciel sans rien faire ? La forêt, c'est dangereux, pourquoi j'irai là-bas, pour me faire déchiqueter par les corbeaux, terminé par les blaireaux, les renards ? Nan merci ! C'est comme manger des vers de terre dans un placard alors que l'on peut manger des croquettes sur un les genoux doux de ses bipèdes, avec des caresses pour couronner le tout. Une vie palpitante ? C'est vrai que la vie ici est monotone, ennuyante, toujours pareil... Cette dernière me fait envie, même si les autres ne sont pas très envieuses... Mais, cette dernière phrase me fait réfléchir... Une vie palpitante, remplie de surprises, mais d'embûches aussi, cela est bien la définition de palpitant. On ne s'y attend pas, mais ça nous plaît, on en ai heureux... Oui, je vais partir. Mais, si je n'aime pas la "vie ailleurs", je revient ici, mais si mes bipèdes reprennent un nouveau chat, ils ne vont plus vouloir de moi, ou alors ce chat ne voudra pas de moi, c'est pareil, et on se battra toujours, et un des deux finira par mourir, ici, dans cette maison, un seul chat peu y régner. c'est la loi du plus fort, le loi du survivant... C'est sauvage, sanglant, et puis, le survivant aura tué l'adversaire, et les bipèdes ne vont plus vouloir d'un chat meurtrier... Dans ce cas là, je partirais pour toujours, dans cette "vie meilleure", et je m'y ferais des nouveaux amis, une nouvelle vie m'attend.
- "Mon choupinoouuuuuuw !!" Cette voix familière m'avait sortit de son rêve, un rêve de liberté. Mon PREMIER rêve de liberté. Car ce rêve m'a fait réfléchir, m'avait fait penser, puis me ferait partir de ce petit nid de bipède bien douillet, bien chaud, là où rien de mal ne pourrait m'arriver. Mais, la vie monotone s'y trouvait aussi, dans ce nid. Rien de palpitant, comme cela devrait l'être dans la forêt, si grande, mais là, tout pourrait arriver. Du mal, comme du bien. Toute chose a des mauvais côtés, mais sans mauvais côtés, la vie n'est pas intéressante, alors que ça pimente le tout, mais le bien est sucré, provoquant un plaisir pour les sens, pour être heureux. C'est comme la vie et la mort. Toute deux sont de bonnes cuisinières, elle s'associent, pour former des plats totalement exquis. Mais, revenons à l'histoire. Je n'avait pas répondu à mon bipède, comme je le faisait d'habitude. Je sortit de la tanière, d'un pas encore endormis. Après tout, je n'ai pas vraiment dormi, j'ai beaucoup réfléchit. Réfléchit à tout, sauf à comment je me nourrirait, moi qui ai jamais chassé de bestioles de ma vie. Oui, bon, juste une mouche, mais c'est pas comestible, ça. C'est pas comme une souris bien dodue, ou un mulot bien mou, ou une grive croustillante. Comment je sais ça moi ? Bah, c'est pas ce qui a comme oiseau une grive, puis ça a des petits os, et ça croustille. Oui, bon j'avoue que j'ai déjà manger une grive, MAIS c'est pas moi qui l'ai chassée ! je l'ai trouvée morte, sur l'herbe bien verte de mes bipèdes... Ex-bipèdes, devrais-je dire plutôt. Mes coussinets sentaient l'herbe fraîche se plier sous eux, comme un coussin, qui me rappelait malheureusement à mon ancienne vie, celle que j'ai quittée. La verdure ondulait à la fine brise matinale, avec de fines gouttes de la rosée du matin. J'arrivait devant la forêt, intimidante, si grande, que l'on risque à tout moment de s'y perdre.
xx.Promenons-nous dans les bois, tant que les chats magiques n'y sont pas !.xx ♫ Destiny will you show them for eternity♫ Troubles of life ♫ Destiny will you keep the world ♫ From falling into darkness ♫ - J'entrait dans la forêt, la forêt sombre, la forêt de mes rêves. Mes rêves d'évasions, d'une vie meilleure. L'air y était glacé, humide, les arbres étaient gigantesques, leur feuillage couvrait presque le soleil, donnant à la forêt cet air macabre, sombre, comme si la mort allait nous sauter dessus à tout moment, pour se nourrir, pour satisfaire sa soif de sang, sa soif de mort, de pouvoir, de puissance. Finalement, la mort est la plus forte, la vie est beaucoup moins puissante, car la mort prend toujours le dessus d'elle. Pourquoi nous ne sommes pas immortels ? Les Dieux, comme disent mes bipèdes, sont trop égoïstes et gardent l'immortalité pour eux. Après tout, ils ont créés le monde, ils l'ont façonné, ils l'ont partagé, pour les mortels et pour eux. Nous devons leur être reconnaissant, mais ils sont si égoïstes, pourquoi ne pas nous avoir fait part de leur immortalité ? Revenons au sujet. Je venais d'entrer dans cette forêt, qui ne m'inspirait d'ailleurs pas confiance. Moi, Destiny, ex-chat domestique, j'ai choisis l'exil et la liberté. Je ne doit pas reculer, en tout cas, pas devant mon destin, mon choix. Finalement, mes bipèdes avaient bien choisis mon nom, Destiny, ça ressemble tellement à Destin... Peut-être qu'ils savaient, que je partirait un jour, vivre ma vie, seul mais heureux ? Après tout, ils ne m'ont pas retenus, mais je suis un chat, je suis de nature sauvage, peut-être qu'ils comprennent cela, mon choix ? J'espère aussi qu'ils ne vont pas m'en vouloir, car ils m'aimaient beaucoup, mais moi aussi je les aimait. Mes espoirs se portent aussi sur leur vie, qu'elle ne sera plus monotone, maintenant que je suis parti. Cela fera un jour différent, optimisons ! Oui, optimiser dans des moments difficiles est toujours bon, cela redonne courage. Nous pouvons enfin continuer notre destinée, en optimisant. Le sens revient à la vie, comme par magie. Mais j'ai peur, il est donc difficile de croire au bons côtés. Car oui, tout mes amis chats domestiques, tout les chats du quartier aussi, redoutaient cette forêt lugubre. Au début, je pensait qu'ils disaient tous cela pour ne pas que l'on y aille, mais maintenant, je les crois... Ils disaient aussi que des chats sauvages y habitaient, mais ces chats avaient des pouvoirs magiques... ça, par contre, je n'y crois pas.
- J'avançait, doucement mais surement, le ventre tiraillé de peur, et de faim aussi, je pense. Des odeurs inconnues jusque lors vinrent me chatouiller les narines, provoquant chez moi une peur plus intense encore. J'y sentait des plantes, mais aussi des odeurs bestiales. De renards, mais faible, de blaireaux, faible aussi, mais de chats, ce qui confirmait ce que disait les chats de mon ex-quartier. Cela me terrifiait, car jusque là, ils n'avaient pas mentis. Il ne manque plus qu'à vérifier s'ils ont des pouvoirs, tout en priant pour que ce ne soit pas sur moi qu'ils vont me les montrer... Sinon, je serais fait comme un rat... Tient, en parlant de rats, j'ai faim. Je vais essayer de chasser, mais j'ai bien dit essayer. Soudainement, je fit un bond de surprise en entendant une brindille craquer un peu derrière moi. La même odeur de chat me venait au museau, puis je décidait que ce n'était que le vent qui emmenait une lointaine odeur de ces chats. J'entrepris donc de faire ma partie de chasse, tout en faisant attention. Si les chats du quartier redoutaient cette forêt, c'est qu'elle doit être dangereuse. Alors, je suis resté sur mes gardes. Je m'assied sur les feuilles vertes des arbres imposants aux racines noueuses. C'était désagréable, cette sensation de s'asseoir sur du poil à gratter. C'était même horrible ! Je me suis relevé sur le coup, et j'ai donc préféré de rester debout. J'ai levé mon museau au vent instinctivement, et fermé les yeux pour mieux percevoir les odeurs de proies. Puis, un fumet de souris me vint aux narines : J'ouvrit les yeux et tenta de repérer d'où elle venait. Je lança alors un regard circulaire dans la forêt, puis vit enfin la nourriture entrain de se faire la toilette. Elle léchait ses petite pattes puis les passait frénétiquement sur ses oreilles. Moi, pendant ce temps, je bavait à la vue de cette souris qui avait l'air si appétissante. Je bondit en sa direction, ne tenant plus, tellement la faim était forte. Elle tourna la tête en ma direction, puis partit en dessous des feuilles pour se réfugier en dessous d'u arbre, dans un trou surement creusé par elle.
xx. Rencontre tant redoutée.xx ♫ Destiny will you show them for eternity♫ Troubles of life ♫ Destiny will you keep the world ♫ From falling into darkness ♫ - Un éclat de rire félin retentit. Pourquoi rigolaient-ils ? C'est impoli déjà, de se moquer des autres ! Il en fut révolté, de cette moquerie. Il allait leur montrer, qu'il est capable de tuer une souris ! même un mulot ! Ce qui en revient un peu au même. Il décida d'utiliser son flair, pour détecter les chat impolis, et leur montrer de quoi il est capable. Il fit comme avec la souris : il leva le museau au ciel, ferma les yeux puis attendit que l'odeur féline vint lui chatouiller le museau. Une odeur féline avec un petit plus : avec une odeur inconnue... Serais-ce la magie, comme avait dit mes amis ? Il fallait le découvrir, coûte que coûte... Enfin non, j'ai trop peur de mourir. Donc, pas coûte que coûte. Heureusement. Il faut que je réfléchisse avant de parler, sinon j'aurais l'air trop bête. Je disait donc que j'avait repéré l'odeur tant redoutée, et cette dernière se trouvait à ma gauche, dans un buisson. J'me débrouille pas mal, pour un chat domestique... Excusez moi, je voulait dire "ex"chat domestique... Oui, donc je trouvait que je me servait bien de mon odorat, peut-être autant que ces matous bizarres. Mais non, qu'est-ce que j'ai dit ? Il faut que je réfléchisse avant de penser ! ou parler, c'est pareil ! je n'égalerais jamais le flair des chats sauvages, j'en suis sur. Car auparavant je n'avais jamais utilisé mon odorat comme je le faisait. Ben oui ! j'avais rien à chercher, j'avais tout sous le nez ! Je vois pas pourquoi je chercherais quelques chose qui se trouvais sous mon nez ! J'aurais eu l'air plus bête encore. Tient, là je m'imagine entrain de tourner en rond autour de ma gamelle, à la recherche de gamelle ! *rire bête* Oui, bon j'arrête d'être imbécile maintenant, je vous le promet. *croise les pattes* [Scathach] : " Nan mais how là, c'est moi qui écrit, tu m'écoutes !... Excusez moi, j'ai fait une bêtise. Je revient donc à mon histoire. Je vit donc des petits yeux briller dans ces buissons fleuris de fleurs bleus, ajoutant un peu de couleur et de joie dans la forêt si sombre.
- Puis, terreur totale : Le chat, pour m'embêter et me ridiculiser, avait crié "BOOOUUUUH !" et j'en ai presque hurlé, et j'ai sauté de terreur, les poils hérissés, ce qui avait bien fait rire le félin. Quel traître ! moi qui est sans défense, il ose se moquer de moi ?! Et bien, pour ne rien vous cacher, j'aurais fais pareil... J'ai pris mon courage à deux pattes, puis je lui ai lancé "t'as peur ? Tu te caches ? T'as bien raison, retourne chez maman sauvage !" Je me dit maintenant que je n'aurais pas du l'offenser, parce que juste après, des ronces sont sorties du sol et m'ont plaquées au sol, en m'arrachant des touffes de poils blanche. Oui, j'ai le pelage blanc, ce qui, à mon grand désespoir, est très voyant dans une forêt, noire qui plus est. Oui, ce n'est pas pratique. Juste après, je ne pouvait plus bouger, puis des feuilles tranchantes se sont mises à voler vers moi à la vitesse de la lumière, pour me couper. Je ne devait pas être beau à voir, après. Ah, mais j'y pense, ça confirme bien que ces chats sont magiques ou plutôt, ont des pouvoirs magiques. Sur le coup, j'était sonné, et je n'avait pas pansé à ça. Mon instinct me poussait à fuir, à survivre, bref, à sauver ma peau de ces chats sauvages, si puissants mais à l'allure si normale... Bref, les apparences sont parfois trompeuses ! Etonnant non ? Je me demande toujours comment ils ont développés ces caractéristiques très impressionnantes... Avouez, incroyable, n'est-ce pas ? Je suis sur que même vous vous n'y croyez pas ! Bref, revenons à l'histoire. J'était écorché vif, au sens propre. Mais, je surpris le félin à parler avec... une fleur ?! Oulà, là, j'ai cru que les feuilles m'avaient atteintes au cerveau... Si si, je vous assure ! Il parlait avec une fleur ! Non non, je ne suis pas détraqué, c'est la vérité vraie !
xx.Conversation... Intéressante ?.xx ♫ Destiny will you show them for eternity♫ Troubles of life ♫ Destiny will you keep the world ♫ From falling into darkness ♫ - Le matou-magique souriant de tout ses crocs, en me regardant, toujours plaqué au sol. Les feuilles sur lesquelles j'était allongé était froides et toujours piquante, ce qui aggravait ma douleur. Il sortit enfin de son buisson, pour me regarder de plus près, lorsqu'il dit " Hey, Feuille Tachetée, viens voir, j'ai trouvé un domestique ! J'lui ai mis la pâté !". Une féline au pelage brun tigré de noir apparut alors, se faufilant entre les arbres si imposants. La dénommée Feuille Tachetée s'approcha du chat qui m'avait "mit la pâté" et lui dit " C'est bien Eclat d'Hiver, tu es très fort, pour un apprenti. Je suis sûre que tu feras un bon guerrier ! En tout cas, tu as tout pour.". Moi, la première pensée qui me vint à l'esprit en la voyant, c'était Waouh ! Elle est belle ! Puis, j'ai pensé à la phrasé adressée à ce certain Eclat d'Hiver. Elle avait bien dit "apprenti" ?! Il n'était même pas adulte ! J'eu la honte devant eux... Puis, la féline dit " Aller, Eclat d'Hiver, arrête les ronces, on va l'emmener au camp, et tu raconteras sa capture à notre chef, je suis sûre qu'il sera fier de toi !"L'apprenti frétilla aux paroles de la chatte, comme si c'était important de capturer un domestique... Comme ils sont bêtes ! Puissant, d'accord, mais bête tout de même ! Eclat d'Hiver avait fait rentrer les ronces dans le sol, ce qui mit fin à ma douleur. Ben quoi ?! Imaginez vous, des ronces dans le dos, qui vous plaquent au sol ! vous verrez, tient... Je fut donc soulagé d'être libéré, car après tout, j'était venu ici pour la liberté ! Et oui, j'ai fait un choix difficile pour être ici, et me retrouver coincé avec des chats magiques, ça aurait été du gâchis. Je faisait demis tour vers mon nid de bipède, mais, la voix féminine de la chatte retentit derrière mon dos "L'intrus, tu viens avec nous"
- Je n'eu d'autre choix que de les suivre, parce que je tenait à ma peau, et à la vie, bien évidement. Je les ais donc suivis, à contre coeur, et je stressait. Qu'est-ce que ces félins barbares vont me faire subir ? Où ils m'emmènent, aussi ? J'était tétanisé, rien qu'en imaginant des réponses à mes pensées. Bref, je les suivait, d'un pas lasse, je traînait les pattes au sol, remuant les feuilles au sol. Cela faisait un bruit intenable, tellement que les matous-magiques me firent remarquer le bruit désagréable. Mais moi je m'en fichait, j'était libre, j'avais donc le droit de faire ce que je veux avec mes pattes. Il ne faut tout de même pas se croire le roi du monde ! J'avais décidé de les énerver le plus possible, j'avait donc simuler un mal de coussinets atroce, et je m'était arrêter pour parfaire le tout. Ces derniers y avaient cru, et se ont stoppé leur marche vers leur "camp" . Ils vinrent inspecter mas pattes, mais ils n'y virent aucune rougeurs. Feuille Tachetée m'avait jeté un regard noir, comme pour me faire comprendre gentiment de ne plus le faire. Je repris donc la marche vers l'endroit tant attendu, où pas en faite. Moi je ne voulait pas y aller, c'était comme si on voulait vous emmener chez le vétérinaire, je ne supporte pas ça. C'set horrible. Imaginez vous sur un sol surélevé et mou, avec un bipède avec un dard dans la patte. Ensuite, il vous l'enfonce dans la peau, et ça, ça fait mal. Je m'en souviens encore, de ce vétérinaire... Brr, rien qu'à y penser, j'en frissonne. Mais ici, c'est pire, je ne sais même pas ce qui m'attend. Alors que chez le vétérinaire, si, puisque je viens de vous le raconter. Là, on était arrivés, dans leur "camp". Il y avait des tanière à perte de vue. Les matous-magiques vaquaient à leurs occupations, non sans rechigner. Il feulèrent lorsqu'ils virent le domestique, moi donc, et j'était recroquevillé sur moi même. Feuille Tachetée et Eclat d'Hiver avaient la tête haute, comme si ma capture était importante, ou même incroyable. J'était comme un trophée pour eux.
xx.Accords.xx ♫ Destiny will you show them for eternity♫ Troubles of life ♫ Destiny will you keep the world ♫ From falling into darkness ♫ - C'était incroyable. Le camp était incroyable. Il était entouré de ronces, pratiquent pour se protéger. Car oui, les ronces c'est très douloureux, une fois qu'on est dedans. Je le sais, car vu avez lu il y a guère longtemps, mon emprisonnement avec une ronce. C'est bizarre, je sais, pas la peine de me le faire remarquer. Et là, je me demande toujours comment ils font... tout ça, si je peut dire. Bref, mon escorte m'emmena dans une tanière, respectée de tous, à ce que m'a dit Eclat d'Hiver. Pourquoi, ça je ne sais pas. Ensuite, il m'a dit qu'il y a le chef dedans, celui qui dirige le camp. Il a été choisi par une horde dans le ciel, là, mais alors là, je n'y avait rien comprit. Mais il n'y a rien à comprendre, c'est leur croyance. Comme les bipèdes avec leur Dieu. Mais eux, ils l'appelaient "Voie des Lumières"... C'est trop bizarre. Donc, ils me firent entrer dans cette tanière si respectée. Une voix tonna " Qui est-ce ? Je sent un domestique..." Sa voix était grave, un peu enrouée, Feuille Tachetée m'avait dit qu'il était trèèès vieux, et trèèès sage. Je le regardait de plus près. Il avait un pelage sel et poivre, entièrement gris.C'était même lui qui prenait toutes les décisions, lui qui décidait de la guerre ou de la paix. Je m'était mit à le respecter vraiment, car il avait tellement de pouvoir, pour un chat de cet âge... Bref, Feuille Tachetée lui répondit "Oui, Lumière Grisâtre, c'est bien un domestique. C'est Eclat d'Hiver qui l'a capturé, je pense maintenant qu'il mérite son baptème de guerrier. Le chat domestique s'est battu avec lui, faisant voler poils et sang, mais c'est Eclat d'Hiver qui l'a battu" Alors là, elle abusait ! je me suis pas battu ! c'est lui m'a attaqué comme un lâche, derrière ses buissons avec sa magie ! Alors là, c'est vraiment injuste... Je vais surement être plus sévèrement puni, c'est sur... Alors que lui, sans bouger, comme un traître, m'a attaqué ! Il ne le mérite même pas ! Il faut vraiment croire que j'ai la poisse, là, c'est sûr.
- Le chef paru soudainement intéressé lorsque la chatte avait dit que je m'était battu avec l'apprenti. Il le va la tête et me scrutait, d'un air supérieur. Pauvre naïf, le papi n'est peut-être pas si respectable. Il demanda à être seul avec moi, et, d'un geste de queue, montra la sortie. La femelle sortie, suivie de son apprenti. Là, nous étions vraiment seuls, seulement nous deux. Je stressait, laissant échapper l'odeur du stress. Le chef parut la sentir, car il sourit dans ses moustaches, l'air satisfait. On se regardait droit dans le blanc des yeux, lorsque soudainement, il me dit" T'as du cran pour un domestique, de t'aventurer dans la forêt, i loin en plus. Mais je sais que tu ne t'es pas battu avec Eclat d'Hiver, parce que Feuille Tachetée est connue pour ses mensonges pour le bien de son apprenti. Arrête donc de stresser, ça ne sert à rien, je ne te ferais pas de mal. Du moins, si tu tiens en place." j'avais arrêter de stresser, mais j'avait maintenant peur. Je me demandait pourquoi il voulait me parler seul-à-seul. Là, pour la première fois devant lui, j'ouvrit la gueule pour dire "Vous avez juste, je n'ai pas combattu. J'aurai bien voulu, mais Eclat d'Hiver m'a attaqué de dos, dans un buisson, avec ses pouvoirs... C'est de la traîtrise, c'est pas loyale. Mais au faite, pourquoi vous vouliez parler avec moi, seuls ?" Le vieux matou-magique ricana. Il répondit "Bien bien, d'accord, je ne vais pas le passer guerrier. Je vais répondre à ta question : car la horde a horriblement besoin de guerriers, et je me demandais si... Si tu voulais te ranger aux côtés de la Horde du Murmure des Feuilles... Tu passeras directement guerrier, car tu as du courage, jeune chat, pour quitter tes bipèdes et venir jusqu'ici. " "Euh, d'accord, après tout, ce n'est pas monotone, ici...Mon nom est Destiny" "Ahaha, tu as bien raison, viens avec moi, je vais raconter les mensonges de Feuille Tachetée à la Horde pour lui faire une leçon : les mensonges ne paient jamais."
xx.Baptème .xx ♫ Destiny will you show them for eternity♫ Troubles of life ♫ Destiny will you keep the world ♫ From falling into darkness ♫ - Nous sortions alors de la tanière, le sourire aux lèvres, toutes mes pensées tournées vers le futur. Peut-être que je serais un valeureux guerrier, sachant parfaitement utiliser ses pouvoirs, et vaincra tout les félins s'interposant sur son passage ? Oh oui, que ce serait bien... De plus, comme pour parfaire la journée, le ciel était d'un bleu pur, sans nuages pour gâcher cette si belle couleur. Le soleil resplendissait, illuminant mon pelage blanc comme neige. Il monta sur le promontoire, le torse gonflé, comme pour faire disparaître les méfaits de l'âge. Il dit "Que tout les félins en âge de chasser se regroupe pour une assemblée de Horde : Nous avons un nouveaux guerrier !" Feuille Tachetée s'avança la première, le sourire aux lèvres croyant qu'il s'agissait de son apprenti, Eclat d'Hiver. Ce dernier s'avança aussi, bombant le torse de fierté. D'autres matous s'avancèrent, accompagnés de chuchotis, surement pour se demander de qui il s'agissait. Une fois les chats réunis, le chef continua "Notre nouveau guerrier est Destiny, anciennement domestique, il est remplis de courage : il s'est aventuré dans la forêt et a combattu avec Eclat d'Hiver difficilement, mais notre apprenti à vaincu, mais avec les pouvoirs. Destiny mérite donc son titre de guerrier, qu'il vienne avec moi sur le promontoire". J'était vraiment fier, heureux de vivre et tellement exité à l'idée de pariciper aux patrouilles, chasser, utiliser mes pouvoirs... Je m'avançait donc, le sourire aux oreilles, vers le promontoire où m'attendait Lumière Grisâtre. Les autres félins, eux, me méprisait, feulaient. C'était sûr que des noires pensées envahissaient leur têtes. Eclat d'Hiver, lui, était trop abasourdit pour répondre quelques chose, il était tellement dégoûté par mon baptème de guerrier. Je lui ai volé la vedette ! Feuille Tachetée, elle, feulait comme les autres, mais avec plus de mépris. Je m'en fichait, je suis donc monté avec le chef.
- J'était donc aux côtés du vieux chat, qui me regardait avec une lueur de joie et d'impatience dans les yeux. Il devait être aussi fier que moi, il a un nouveau guerrier dans ses rangs et une leçon passé à un mentor et son apprenti. Il me sourit, avec comme accompagnement et encouragement un clin d'oeil discret, pour que les autres ne le voient pas. Ils penseraient que leur chef les a trahis, en faisant un signe d'amitié avec un domestique, donc moi. Bref, je lui ai rendu son sourire. Il dit "Par les pouvoirs que m'ont conféré la Voie des Lumières, je te nomme Griffes de la Destinée, car le destin est puissant et inchangeable. Je te donne aussi tes pouvoirs, pour égaliser les autres félins de ce qui est désormais ta Horde. Promet nous honneur et courage, et accepte le code du guerrier. Tu devras également être capable de te sacrifier pour ta Horde en cas de guerre. Acceptes-tu tout cela ?" Wahou, tout cela à accepter, toutes ces conditions ?! C'est étonnant ! Moi, je me sentait prêt à tout cela, à la guerre, la mort, la trahison, la vie palpitante que j'attendait tant. Je crois qu'elle va commencer là, avec toutes ses embûches et ses surprises... Alors moi, je lui ai répondu "Oui, j'accepte tout cela". Les chats ont hués de désaccord avec leur chef. Mais moi je m'en fichait, moi, Griffes de la Destinée, j'était et je serais toujours heureux de ma décision, coûte que coûte. Et là, vraiment. Bon, il est tard les enfants, il est tant que vous allez vous couchés. Allez papa ! T'as pas raconté comme t'as connus maman ! Mais si ! Je vous ai dit que je l'ai trouvé belle, dès que je l'ai vue ! Et puis, c'et vrai, Feuille Tachetée est belle ! Roh, mais papaaaa... Je vous ai raconté mon entrée dans la Horde, comme vous m'aviez demandé, c'est fini maintenant. Bonne nuit mes petits !
[Fin]Griffes de la Destinée Ici vous pouvez ajouter vos RPs qui vous plaisent afin d'orienter votre professeur : histoire d'un personnage : - Spoiler:
- A sa naissance, la mère de notre petite mourut, la laissant seule. Car oui, son père avait violé sa mère et tomba sans le vouloir enceinte. 9 mois plus tard, elle eu donc Scathach, sa seule fille. La jeune mère n'eut pas le temps de la voir, car elle avait perdu beaucoup trop de sang, et mourut. Son père, qui n'était d'autre qu'un tyran, partit sans demander son reste. Il partit silencieusement, il s'effaça de la vie de tous. Certains soupsonnaient qu'il était mort. Mais sa mort va venir, patientez. Les infirmière (car oui, Scathach est née dans un hôpital) l'ont recueillit.
- Scathach grandit, en connaissant parfaitement la vérité. A 10 ans, elle se mit en tête de retrouver son père, coute que coute. Mais elle ne savait pas pourquoi.
- A 15, elle se mit en tête de le tuer et toutes les nuits elle faisait des cauchemars horribles. des cauchemars où le sang coulait, où le sang coulait des mains de la rousse. Elle racontait ses rêve aux infirmières qui l'avaient jusque là élevée, puis, Scathach leur révéla son envie de tuer. Les femmes prirent ça au sérieux et la mirent à la porte. Elle errait dans les quartiers sombre de sa ville natale, faisant la manche aux inconnus inquiétants.
- C'est un beau jour qu'elle le rencontra. Oui, elle rencontra, cette homme, celui qui l'a fait naître. Scathach ne le reconnut pas tout de suite. Elle remarque juste qu'il était roux. Comme elle. Qu'il avait les yeux bleus qui tiraient au violet. Comme elle. Qu'il avait un visage fin, des oreilles petites, comme elle. Elle fut d'abord intriguée par cet inconnu. L'homme la fixait, Scathach trouvait cela très inquiétant. Puis l'inconnu s'approcha d'elle, et la pris par l'épaule de son tee-shirt sale. Il la traîna dans un appartement, et Scathach était terrifiée. Ce qui est normal, après tout. Elle se retenait de hurler, car l'homme avait une épée qui semblait bien éguisée accrochée à sa ceinture. Il prit l'ascenseur et entra dans un appartement plutôt... sale, poussièreux, bref, qui correspondait bien à l'inconnu. Il prit une chaise, une corde, et du sparadra. Il poussa la jeune fille sur la chaise et entoura son buste de ficelle, pour ne pas qu'elle s'échappe. Il prit son épée et la posa sur la gorge de l'adolecente innocente. Scathach prit son courage à deux mains, et lui arracha l'épée des mains. L'inconnu, étonné, ne pipa mot. Scathach commença par lui couper les mains, et l'homme implora la pitié. Il ajouta qu'il était son père. Scathach, satisfaite, lui trancha ensuite les bras. L'homme pleurait de toutes ses larmes sans retenue. Scathach haussa les épaules. Elle laissa un peu l'homme mijoter dans sa souffrance pour explorer l'appartement. Elle vit du sang sur les murs. Puis elle vit plusieurs affiches de journaux : elle lu donc. Tout les articles parlaient de meurtre. Scathach sourit : elle avait vengé plus d'une personnes innocentes. Elle revenu sur ses pas, et elle vu l'homme agonisant, se tordant de douleur, avec se mains et ses bras découpés autour de lui. Elle s'approcha et lui murmura dans l'oreille " ne t'inquiéte pas vieux, je vais mettre fin à tes souffrances" puis elle planta l'épée dans son coeur. L'homme resta figé, puis du sang sortit de sa bouche. Scathach retira l'arme du crime du corps maintenant froid de l'homme. La jeune meurtrière prit les membres de l'homme, se disant qu'ils lui rappellerons son courage et qu'elle est capable de tout. Elle les mit dans un sac qu'elle dérouba de chez le mort. Elle emporta l'épée avec elle.Elle alla tout de même fouiller la maison au cas où il aurai de l'argent. Elle vu un tiroir de bureau sous le lit qui semblait être celui de l'homme. Qui d'autre ? se dit la nouvelle meurtrière. Elle le prit et regarda son contenu. Trois paquets de billet roulé !! Il étaient composés de 10 billets de 50 chacun. Elle les prit et le mit dans sa poche. Elle sortit de l'appartement à pas de loup.
- Elle mit les pieds dehors,et le vent ébouriffa ses cheveux roux. Avec tout l'argent qu'elle avait, elle décida de partir en avion pour aller loin, là où personne ne pourra le soupsonner de meurtre. Elle alla à l'aéroport, flânant devant les vitrines. Elle prit quelques nouveaux habits, histoire d'être propre. Elle sortit du magasin tout belle. Elle partit en direction de l'aéroport, non sans demander le chemin de ce dernier à quelques passants.
- Arrivée à l'aéroport, elle partit prendre un ticket, et alla vers le premier avion qu'elle vu. Mais, à son grand malheur, des contrôleurs vinrent à sa rencontre vérifier son sac. Un homme de couleur blanc lui demanda poliment son sac, l'ouvrit et vérifia son contenu. Son regard glissa vers la jeune fille au sac, et cela pendant quelques minutes. Il prit enfin son Talki-walki et l'approcha doucement de sa bouche, pour enfin dire ces mots " Wa...Watson, je crois que... Je crois que nous ... Nous... Nous avons un problèèèèèème... Pas qu'un petit...". Scathach se mordait la lèvre inférieure, et ses mains tremblaient. Elle hésitait à utiliser son épée, mais se résigna : ces gens n'avaient rien fait de mal. C'est leur devoir. Puis, elle se dit "changement de programme"
- Une troupe de policiers arriva, surement à l'appel du "Watson" . Ils étaient armés de fusils pointés sur la rousse. Les policiers la prirent par les bras, la faisant traîner par terre car la jeune refusait d'avancer. Elle prit ensuite un coup de matraque derrière la tête et s'évanouit.
- Elle se réveilla avec un violent mal de crane. Elle se leva en se frottant la tête de sa main. Elle serra les dents et fronça le nez de douleur. Elle réalisa enfin où elle était : en prison. Ce diagnostique a été fait grâce aux barreaux des fenêtres et ceux de la portes. Mais aussi à ses voisins, intrigués de voire une personne si jeune en prison. Elle aperçut que les policiers, surement par mégarde, avaient oubliés de retirer son sac. Et dans ce dernier ce trouvait les membres (accompagnés d'insectes) et de son épée. Elle était tombée amoureuse de cette épée, c'était elle qui avait fait coulé le sang de son père. Elle s'allongea sur son lit et dormi, le coeur serein d'avoir vengé des personnes. y comprit sa mère.
- Le lendemain matin, elle fut réveillé par un fracas de pierre. En effet, sa cellule fut détruite par un... fragon. Oui, vous avez bien lu, un dragon. Noir, précisément. Ce dernier s'attaqua à Scathach, qui fut morte de peur devant cette créature si terrifiante. Mais une chose lui parvint en tête : Elle avait encore les membres de son pères !! Elle pris pour une seconde fois son courage à deux mains et descendit de son lit, et attrapa son sac qui se trouvait près des WC (oui, bon xD) Elle sortit à toute vitesse les parties du corps ensanglanté. Elle les jeta au dragon qui alla les dévorer. Il la regarda d'un air compatissant.
- Elle s'approcha de lui, entièrement sous le charme. Le dragon souffla de l'air de ses narines, faisant voler les cheveux roux de l'ado. Elle sentit une vague d'amour lui envahir l'esprit. Elle s'approcha du dragon, et elle l'enlaça longuement. Soudainement, elle parvint à entendre ces paroles "je te comprend parfaitement" résonnantes dans sa tête. Dabbord étonnée, la jeune fille recula de quelques pas. Elle se demandait alors de qui elles pouvaient provenir. Elle jeta un regard circulaire sur sa cellule, puis son regard se posa sur le dragon. Dans sa tête, un gloussement retenti. Elle sourit, puis dit au dragon "Comment tu t'appelles ?" Le dragon hocha la tête et la jeune femme entendit "Je n'ai pas de nom. Ce sera à toi de m'en trouver". Ils comprirent tout deux qu'ils deviendraient vite amis. Puis, le dragon continua "monte sur mon dos, je connait un endroit qui nous conviendra parfaitement. Au faite, et toi, quel est ton nom ?" Scathach répondit, d'un ton ferme " Scathach" Puis elle enfourcha le dos du dragon. Soudainement, elle entendit des remuements dans la cellule : Les forces de l'ordres étaient entrés en trombe mais n'osaient intervenir, tellement la peur tétanisait leurs muscles devant le dragon. Ce dernier sourit et s'envola. Après quelques minutes de vol, Scathach réfléchissait au nom qu'elle pouvait donner au dragon *Tchiko ? non, trop bébé. Dracolsse ? je ne suis pas folle à ce point. Wiz ? trop caniche. Wizard, ça pourrait être pas mal, mais je ne pense pas que ça lui plaira. Sarkozy, nan, il n'est pas si petit !! Aube ou Crépuscule, c'est pas mal ! Twilight... ça défonce ! Mais je peut faire mieux... et... Nightwish ! ça lui correspond vraiment. Night => nuit, c'est sa couleur et Wish => voeu, il est arrivé pour me sauver et a réaliser un de mes voeux. Elle dit au dragon " Nightwish, ça te va ?"Le dragon, dit "cela me convient parfaitement !" Scathach, heureuse, le coeur legé, s'endormit.
- Elle fut réveillée par Nightwish, son ami. Ce dernier l'avait poussé du bout du museau, délicatement. Son ami lui dit " nous sommes arrivés à la foret, je connais des personnes qui peuvent nous acueilir " Scathach s'étira, frotta ses yeux et se leva. Elle s'était endormie sur le dos de 'Twish (nouveau surnom !!Il y a aussi Nini mais bon... xD) mais s'était réveillée sur un rocher ensoleillé, à proximité d'une foret. Celui ci lui di qu'ils étaient enfin arrivés, et qu'ici ils seront heureux. Elle remercia Night' en le serrant fort dans ses bras.
- Scathach décida alors d'explorer cette mystèrieuse foret, non sans son ami. Ils partirent tout deux, Scathach sur son dos, en marchant, et s'enfoncèrent dans cette foret. Ils virent en même temps que plusieurs dragons volaient au dessus de leur tête, lorsqu'un se posa devant eux, avec un cavalier assis en amazone dessus. Ce dernier dit d'un ton strict " Que faites-vous ici, sur les terre de Forest ?" Scathach fut interloquée. Elle ne comprit pas et elle demanda à l'homme étrange de répéter. Ce dernier s'executa et là seulement la jeune femme comprit. Elle s'excusa et décida de repartir. Mais Nightwish refusa de bouger, et il lui dit "c'est ici que je voulait t'emmener, avec eux, alors je ne bougerais pas, seulement si c'est pour les suivre". Scathach, ayant une grande confiance envers Twish', l'écouta. L'inconnu regarda l'ami de Scathach d'un air bizarre, et il eut l'air de le connaitre. Là, il dit "voulez vous me suivre et integrer Forest ?" et l'inconnu partit. Scathach n'eut le temps de répondre que son dragon le suivis. Il l'emmenèrent voir leur chef et ce dernier leur dit " Ah. Les voila enfin. Dragon, tu en a pris du temps ! Jeune fille, veux-tu venir avec nous, dans la foret ?" Scathach répondit "Je fait confiance à mon dragon" Le chef sourit.
- Le temps passa, et, Scathach devint Envoleuse le jour de ses 23 ans, et depuis elle s'est fait des amis autre que Nightwish. Et maintenant, elle vit le présent, le futur lui rentre dedans, le passé lui court après.
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Pré-créé : - Spoiler:
Son histoire est très intéressante. Je vais vous la conter, vu que je suis obligée. - Il est né un soir d'automne, un soir glacial, où les feuilles tourbillonnaient devant la fenêtre de la cuisine. La nuit prenait la place du jour, la lune du soleil. Il faisait noir, sa mère venait d'accoucher. Oui, drôle de façon d'accoucher chez soi. Mais, ils manquaient d'argent. Que pouvaient-ils faire d'autre ? non, rien évidemment. Il sortit la tête la première, avec la tête toute rouge. Il se préparait à hurler et aspirer sa première bouffée d'air. Il cria donc, un cri rugueux et aigu. Sa mère pleurait, de joie ou de souffrance (bah, ça doit pas être agréable d'avoir le ventre ouvert...) je ne sais pas. Je ne fait que conter, je ne sais pas tout... Donc bref, il était né.
- A 1an et demi, il appris à marcher, comme les grands. Comme il était fier ! Ce jour là, il avait pris des échardes aux pieds... Bref, je passe les détails. Sa mère l'avait pris dans ses bras, avait chéri son bébé tout rouge et tout maigre.
Elle le tapota dans le dos et il rota d'un rot bien gras Elle le félicita, lui mit des chaussures et ils allèrent au parc. ils avançaient lentement mais surement, sa mère lui tenant la main au cas où il tomberais. Mais il ne tomba aucune fois, et ils arrivèrent au parc saints et saufs. Ils s'assirent sur le banc et prirent du bon temps ensemble. Aïriyu courait après le pigeons, et ces derniers partaient en s'envolant, lachant au passage des petites crottes plumes toutes grises. En tombant, elle tournaient majestueusement et se déposait au sol. Le bébé en pris une et se précipita vers sa maman pour lui montrer quelque chose de nouveau pour lui. Sa mère sourit, la prit et lui dit qu'il était temps de partir et de rentrer à la maison. Il soupira et ses petites jambes se mirent en route vers la maison, main dans la main avec sa mère.
- A 5ans il parla comme un adulte mais sa voix le trahissait. Une petite voix toute douce et enfantine, bafouant quelque fois le mot "cerise" et disait "Cherise". Bref, je suis sure que cela ne vous interresse pas, n'est-ce pas ? Je passe donc ces petites chose inutiles pour continuer sur le plus
ennuyant palpitant... Peut-être pas tant que ça. Enfaite, c'était à la maternelle. Sa première année de maternelle, et il refusait d'y aller. Oui, dès que sa maman l'emmenait, il dormait. Elle le mettait délicatement dans un foulard sur son dos et le portait jusqu'à la maternelle. Il se réveillait, ouvrait les yeux et hurlait. Il pleurait même. Les maîtresses et le maîtres appelaient sa mère pour qu'elle vienne le chercher. La mère venait donc, et prenait son bambin. Quand celui-ci fut sortit, il chantait "lala lalaaa" et sa mère rigolait. Ils partaient au parc, jouaient et s'amusaient ensemble. QUOOOI ?! ça aussi ça vous interresse pas ? bah moi non pluuuus T.T
- A 10ans, il rencontra Scathach à l'école et en fut tombé amoureux. Il avait préparé pour elle une carte pour lui montrer son amour, mais elle fut retirée de l'école par ses mères adoptives. Il eu le coeur brisé. Pris par le chagrin d'amour, il ne travailla plus à l'école. Mais ça va revenir.
- A 15ans, ils n'avaient plus de maison. Le loyer était devenu trop cher pour eux, pauvres. Ils furent donc expulsés de la maison. Il furent accueillis dans un centre d'accueil. Defois, il sortait en douce dans le rue pour baver devant les vitrines. Puis il vit, Scathach, sa chère et tendre, en train de faire l'aumône au passants. Il voulut s'approcher d'elle pour lui déclarer sa flamme, son amour, car oui, il l'aimait toujours. Ce n'était pas un amour passager, ce qui ressentait pour elle. Mais un homme lui barra la route, un homme roux lui aussi. Ce dernier lui jeta un regard noir et le poussa. Aïriyu tomba à terre, les fesse au sol. Il se releva et s'appuya sur ses mains, trop médusé pour faire quelque chose. L'homme avança donc vers Scathach, et l'emmena dans un grand immeuble, sale, dans lequel Aïriyu habitait. Qu'allait-il faire d'elle ? Son coeur battait à la chamade. Que faire ? Que faire ? Cette question tournait dans sa tête et prenait de l'ampleur chaque secondes. Il se releva, épousseta son pantalon sale en le frottant avec ses mains et parti en courant.
- Il arriva dans le centre dans lequel il vivait et appela "MAMAN !! " d'une voix qui se voulait assurée mais qui était tremblante. Sa mère arriva, et lui demanda ce que voulait dire tout ce tapage. [excusez moi de cette grossièreté, je répète mot pour mot l'histoire] Il lui raconta ce qu'il avait vu, et sa mère lui dit " va sauver ta belle, mon Aïriyu, de toute façon, tu allait le faire, même si je te l'avait interdit. Alors, prépare un sac avec de quoi vivre. Tu es grand, j'ai confiance en toi... Mais fait attention tout de même !". L'adolescent sourit, et partit faire son sac. Il prit un tee-shirt, sa peluche, un pantalon, des chaussettes, et la cartes qu'il avait tant voulut donner à la belle rousse... mais décida d'en refaire une à la-vas-vite. cette fois-ci, avec une plus belle écriture... Sur la carte il y avait écrit :
" Scathach, oh ma belle Scathach, Pourrai-je te déclarer ma flamme, Sans qu'une de tes majestueuse mains me gifle ?
Fait attention au sentiments, Certains sont caché au plus profond de ton coeur, Va chercher bien loin, Et dit moi "moi aussi".
Je veut vivre avec toi, Avec ton sourire si charmeur Et ton rire cristallin.
Je t'aime Scathach~" - Une petite larme perla alors au coin de son oeil. Il posa la carte dans son sac, et ferma ce dernier. Il mit son sac sur le dos et partit, sans oublier de dire au revoir à sa mère. Cette dernière pleura et sourit. Son fils est bien courageux. Il jeta un dernier regard sur sa mère et craqua. Il la serra bien fort dans se bras. Il pleura et partit, le coeur chavirant : chercher un belle qui ne l'aime peut-être pas ou perdre sa mère ? Bah, il irait la voire souvent après avoir conquit la rousse.
- Il se trouvait maintenant dans la rue, ne savant où chercher. Peut-être devant le grand immeuble ? Il se dirigea vers celui-ci et vit l'adolescente tant désirée... Mais vit avec horreur une épée des sa main ensanglantée. Il la vit aussi ranger un bras humain dans son sac... et se retint de vomir. Il la suivit, rassuré a cette pensée : si il lui dit ce poème et qu'elle l'aime, pourquoi lui faire du mal ? Il continua de la suivre, discrètement. Mais elle entra dans une boutique et acheta des vêtements. Elle prenait du temps, *c'est bien une fille ça* pensa l'adolescent amoureux.
- Scathach sortit et se dirigea vers l'aéroport d'un pas léger. L'ado' aux cheveux noirs vit qu'elle avait changé d'habits, et qu'elle en avait mis des beaux, des neufs, qui mettait bien en valeur son visage et son corps. *Coooooooomme elle est beeeeelle* pensa Aïriyu en bavant presque. Il secoua la tête et la suivit. Ah l'amour peut vous conduire n'importe où...
Même à l'aéroport Ils arrivèrent donc à l'aéroport, mais Scathach fut fouillée par les gardes... Et fut arrêtée, au grand désespoir du grand sentimental Emmental !8D... Mais de toute façon, il n'aurait pas pu faire le chemin en avion avec elle, il n'avait pas de billet... Coup de chance, franchement ! Et la rousse fut emmenée en prison, toujours suivie de l'amoureux.
- Arrivés à la prison, le jeune homme demanda à la secretaire à voir Scathach Ter't'zey. La femme était toute maigre, à se demander si elle mangeait. Elle était squelettique, elle était en jupe et avait des jambes vraiment osseuses. Sa jupe glissait, et la femme la remontait toute les minutes à peu près (oui, on m'a pas dit pas au secondes près, c'est dommage...). Aïriyu était déguouté de regarder un femme sur laquelle on voyait ses os et sa culotte... Il avait bien raison, mais il ne pouvait s'empêcher de regarder la femme si maigre. Il s'arrêta devant une cellule pour regarder un homme incroyablement musclé, mais la secretaire le prit par la main et l'emmena devant la cellule de sa bien aimée, et vit... Un étrange trou dans le mur, un étrange IMMENSE trou dans le mur, et vit un gros dragon en train de converser avec la belle rousse. Dumoins, Scathach, elle parlait. Puis, la femme osseuse appella la sécurité avec un talki-walki qui était accroché à sa jupe. Cette dernière remonta sa jupe et dit "Allô, Watson ? Oui, c'est Ginette, venez vite à la cellule 310, la fille parle avec un truc immense et... euh, elle monte sur son dos... et... VITE, VENEZ !!!"
- La sécurité arriva à temps, mais ne servit à rien : les policiers étaient apeurés devant la bête si grande, si imposante. Devant elle, on a l'impression d'être amoindrit. Et bien, c'est ce que ressentait le sentimental, apeuré lui aussi. Et si la créature la mangeait ? tout ses efforts auront étés vain. Il sortit avec hâte son doudou de son sac,
pour se réconforterpour la lancer sur la bête gigantesque, dans l'espoir de la tuerla faire fuir ou qu'elle s'en prenne à lui plutôt qu'à sa chère et tendre. Mais, le dragon s'envola et il jeta son doudou dans le vide. La puissance des ailes de la créature fit envoler la carte d'amour destinée à Scathach, dans la même direction que sa peluche. Il se mit à genou par terre et dit "Ma peluuuuche !!!!""Scathach !!!". la secrétaire le regarda, ébahie, sa mâchoire osseuse béante. Il partit en courant, tout en disant "Je te retrouverait, je te sauverais ,et je t'embrasserais, comme dans les films !. La femme au physique bizarre lui courut après en oubliant de tenir sa jupe. Et cette dernière glissa, et les gardes eu un beau spectacle !. Mais elle ne le rattrapa pas.
- Il était dehors, le coeur battant à vive allure, le vent ébouriffant ses cheveux noirs. Il courut à l'endroit à sa peluche était tombée, et vit la carte, dans l'eau, déchiquetée... Mais sa peluche était indemne. C'était déjà ça, mais c'est une maigre consolation. Il regarda les cheveux roux volant au vent de Scathach, et courut derrière la créature volante. Mais, il tomba sur un caillou, et saignait abondement au genou. Il ne pouvait plus continuer, il avait trop mal. Il se glissa dans une banlieue obscure pour qu'il puisse
sucer son pouce pour penser à autre chose se soigner. Mais un hurlement bestial vint troubler le soin qu'il allait s'apporter. Il rampa alors tant bien que mal vers le bruit, poussé par la curiosité. Et là, il vit...
- Un dragon ! C'était un dragon qui avait poussé ce cri
à faire trembler le Père Fouettard ! Le dragon saignait, et une de ses pattes semblait cassée. La créature feula, comme un chat effrayant le jeune homme. Mais la créature semblait très mal en point, et des larmes coulaient le long de ses joues. Il poussait des geingnissements à fendre le coeur, et il s'approcha de la créature. Cette dernière lui lança un regard accablé, et n'attaqua pas l'homme. Il la caressa, doucement. Puis, la créature lecha le genou blessé d'Aïiriyu. Le genou se refermait, ne laissant aucune trace de son égratignure. Il prit cela comme un marché : Le dragon l'a soigné, à lui de le soigner.
- Il enleva son tee-shirt, se retrouvant torse nu. (comme il est trop'gnon !) et le déchira en lambeaux, pour bander la patte de la bête. Cette dernière se laissa faire, en poussant quelques fois un petit cri de douleur. Quand ce fut fini, le créature grogna et se leva, sur trois pattes. La patte blessée semblait aller mieux, et le dragon pris Aïriyu sur son dos. Il se laissa faire, ayant pris confiance avec le dragon. La bête s'envola, et dit "Merci petit. Comment tu t'appelles ?" "Eh bien, je m'appelle Aïriyu. Et vous
vieille choooose ? ? "Et bien moi, je m'appelle Slava, c'est simple et joli à écrire dire, tu ne trouve pas ?". Le jeune homme acquieça. C'est vrai que c'est beau. Ils s'envolèrent alors, volant longtemps. Aïriyu lui raconta alors son histoire. Même le passage où il dit qu'il aime Scathach, et la dragonne lui dit qu'elle l'aiderais à la trouver. Mais, elle ne savait pas où elle était, la jeune demoiselle.
- Elle l'emmena sur une île, mais la chère et tendre n'y était guère. La bête l'emmena sur un pays voisin, mais pas de rousse non plus. Elle l'emmena dans une forêt, et Ô miracle, une rousse, mais pas Scathach. Enfaite si, mais elle avait tellement changée... Elle était sale, mais ses cheveux était toujours aussi éclatants. Le temps avait passé et, ils avaient tout deux changés. Ils se reconnurent, et devinrent amis, mais aucun ne savaient les sentiments de l'autres... Bientôt, patientez !
Voilà, j'espère que ça vous a plus. Byyye~ ! | |
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