Woops, Family has a problem ![PV Lumière Orageuse & Éclat Cendré]

Lumière Orageuse regarda son fils et vit à la lueur brillant dans ses yeux que le jeune chat avai compris le message. Il ne semblait pas vouloir partir, mais le meneur ne saura jamais ce qu'il aurait fait puisque Lumière d'Automne vint vers eux pour interrompre leurs retrouvailles. Bizarrement, elle avait l'air furieuse quand elle cracha :

- Non mais je rêve ! C'est tout ce que vous éprouvez stupides boules de poils ? Non seulement j'ai perdu mon temps ici en votre présence mais en plus vous osez partir comme ça ?! Pour la peine, je vous invite à m'accompagner jusqu'a ma frontière pour que vous compreniez ce que ve dire le mot "responsabilité" et les mots "perte de temps" alors vous allez affronter les rats avec moi que vous le vouliez où non !

Mais qu'est-ce qui lui prenait ? Lumière Orageuse commençait à en avoir par-dessus la tête des sautes d'humeurs et du ton autoritaire de sa soeur. Il sentit alors une rage étrange monter en lui. Mais depuis quand un meneur obéit-il à un autre sans discuter ? Pourquoi sa soeur ne comprenait-elle rien de ce qu'on lui disait ? Un grondement sourd s'éleva de la poitrine du meneur qui se ramassa sur lui-même avant de bondir sur sa soeur en lui griffant le museau suffisamment fort pour qu'elle comprenne enfin qu'elle n'avait pas à imposer sa loi. L'étendue de sa colère était telle qu'il garda sa soeur plaquée au sol pour lui gronder d'un ton bas et menacant :

- Tu ne te soucie jamais des autres, espèce d'égoïste ! Tu as toujours trouvé quelqu'un sur qui compter, une place parmis les tiens, alors que j'ai du me battre pour quitter ma mère, connaître l'amour et ensuite le perdre... Maintenant que je retrouve ne serait-ce qu'une seule parcelle de bonheur, tu ne peux pas t'empêcher de tout gâcher ! Alors que j'ai cherché la réconciliation, tu m'a poussé à bout ! C'en est trop ! Si tu veux rentrer, fais-le seule !

Il lui infligea une seconde griffure, lui cracha dessus et alla voir son fils, furieux. Il tenta de faire disparaître sa colère de sa voix quand il lui miaula :

- Il vaudrait mieux que tu files, ta tante n'est pas de bonne humeur...

Éclat Cendré lui fit le gros dos dos et tendit les pattes prêtes à l'élancer hors de portée de :la chatte, soudain Lumière d'Automne sentit une douleur au flanc droit et un grogneent rauque retentit dans ses oreilles qu'elle colla contre le sommet de son crâne et sentit une vioente bruluresur le museau et un peu de sang goutta de sa truffe, la patte robuste de son frère lui était posé su sa gorge et elle arriva à peine à avaler sa salive et laissa ce qu'il avait à dire avant de vouloir le projeter sur le coté.

-Tu ne te soucie jamais des autres, espèce d'égoïste ! Tu as toujours trouvé quelqu'un sur qui compter, une place parmis les tiens, alors que j'ai du me battre pour quitter ma mère, connaître l'amour et ensuite le perdre... Maintenant que je retrouve ne serait-ce qu'une seule parcelle de bonheur, tu ne peux pas t'empêcher de tout gâcher ! Alors que j'ai cherché la réconciliation, tu m'a poussé à bout ! C'en est trop ! Si tu veux rentrer, fais-le seule !

Ce qu'il disait n'avait aucun sens, tout est de sa faute après tout, la colère lui monta a l'esprit avant de recevoir un second coup de griffe de la part du meneur avant que celui c files au pattes de son fils et lui murmurer des paroles que le vent sembla vouloir lui cacher pour ne pas l'emporter dans sa colère, il en etait trop trad, sans attendre, elle bondit sur ses pattes et soutint le regard de l'autre meneur qui semblait sûr de lui les traits serieux et rassuré. Dans la profonduer des yeux du mâle, elle ne voyait pas l'étoffe d'un meneur ni d'un frère, mais d'un chat complètement perdu dans le vaste du monde félin. Avant que celui ci est eu le temps de souffler "rat" qu'elle sauta sur lui et le toisa méchament

- Dis ce que tu veux de moi, cela m'est égal, tu te fera mal tout seul après tout, mais delà dire que j'ai toujours eu quelqun sur qui compter regarde bien mes babines et tent des oreilles si tu l'oses : C'est toi qui a fait le choix de nous quitter, moi j'ai affronter seule le pesant de la nuit où des yeux adverses me regardaient et manquaient de me tuer, je sentais que j'avais été trahie et je voulais tout abandonner, mais j'ai sut qu'il était si bète de porter un fardot tel que celui ci, et que la vie vallait la peine d'être vécue, je fuyais à coté de notre mère, tu te plein, moi je l'ai vu mourrir sans rien faire, elle est tomber dans un trou et s'est brisé la patte, j'ai du la porter jusqu'aux frontières de la Horde du Souffle du Mistral, et là elle avait rendu son dernier souffle, je venait d'arriver dans un camp adverse où es chats manquaient de me sauter à la gorge mais le meneur à reconnu une de ses anciennes guerrières et à pris parti de la douleur que j'éprouvais et à finalement accepté que je reste, je n'étais pas la bienvenue, on me crachait à la figure, on ne me reconnaissait pas tel que j'étais et j'ai dut prouver que j'étais à la hauteur d'être l'un d'entre eux en fesant d'un chat un guerrier accompli. De plus tu as perdu ton amour mais dis toi que tu n'aurais pas souffert en respectant le Code du Guerrier, peut être la Voie des Lumières l'a décidé. Je gache peut être tout mais dis toi, dis toi bien que tout cela ne serais jamais arrivé en commettant ces horribles erreurs.De plus je t'ai guider à ton fils, je t'ai aider malgré ce que j'éprouve en vers toi depuis que tu as fait ton choix, mais toi, qu'a tu seulement fait pour moi ? Ne serait ce qu'un petit service, tu n'a rien fait du tout à part me chasser, un jour, oui un jour proche, tu le regrettera et te rendra surement compte dans quel noir j'ai vécu jusqu'a présent.

Sur ce elle se retira du meneur mais avant de tourner les talons elle degaina sa patte qu'elle leva haut et y misa toutes ses forces dans le coup qui la précédera, elle sortit ces griffes etvidamment et assena un coup à Lumière Orageuse, il l'avait mérité., tant pis, elle avait sut se contrôler mais il avait depasser les frontières de sa rage et de sa peine et elle essaya de lui transmettre tout ses étés vécus dans la souffrance. Sur ce elle tourna les talons, sentant son coeur bien plus légé et n'eu pas une seconde de regret, elle en était même fièr. Elle s'en alla le dos courber à grands pas et la tête baissée, enssevelit par la fatigue, elle n'attendait rien d'autre, si Lumière Orageuse ou Éclat Cendré tentaient quoi que ce soit, elle leur ferait comprendre qu'il ne vaut mieux pas la titiller.

Éclat Cendré regarda sa famille toute neuve se battre et s'invectiver. Décidément, la solitude était préférable au conflit... Les deux chefs se griffaient et s'invectivaient, son père lui ordonna même de partir, mais le jeune chat resta. Il regarda sa tante lâcher une tirade sans fin avant de frapper si soudainement et si fort le meneur argenté que l'apprenti se demanda s'il n'était pas assommé. Commençant à en avoir ras-le-bol, Éclat Cendré s'élança à la poursuite de la furie qui venait de griffer son père pour se planter devant elle, la regardant droit dans les yeux :

- Mais vous êtes tous aussi égoïstes les uns que les autres ! Et je ne parle pas de votre côté geignard et emporté ! Vous êtes des meneurs fiers et fort et à peine la conversation prend des airs de joute verbal que vous sortez les griffes ! Déjà que je ne vous croyez pas chefs quand je suis arrivé, je me rend compte maintenant que vous n'êtes qu'une bande de chatons ! C'était décidément mieux quand j'avais pas de famille du tout !

Il se détourna, mais ajouta pour sa tante :

- Tu ne vaux pas mieux que ceux qui t'on rejeté à ton arrivée dans ta Horde, tu viens de faire la même chose avec ton frère qui cherchait la paix. Tu y a seulement ajouté les griffes.

Sur ceux, il se tourna vers son père à terre. Il se contenta de frotter son museau au sien avant de dire honnêtement :

- Ce que j'ai dis est vrai : cette nuit, tu n'as pas eu l'étoffe d'un meneur. Cependant, tu restera toujours mon père.

Il s'avança alors dans les buissons.

Sa soeur décida de copier sa technique et lui sauta dessus pour lui faire un long discours, les yeux remplis de haine et de folie. Une chose était sûre, Lumière d'Automne n'était pas devant lui. Devant lui se tenait une chatte folle de Haine et de Désespoir qui tentait de se venger sur lui. Et c'est ce qu'elle fit. Un coup digne de la Voie des Lumière étourdit le meneur, jusqu'à le plonger dans une semi-inconscience. Il vit dans un brouillard de souffrance les yeux illuminés de fierté et de folie de sa soeur. Non, pas sa soeur. la tante de son fils. Elle s'éloigna, mais l'apprenti témoin de la scène s'opposa à elle sans prêter attention au meneur effondré. Lumière Orageuse voulu crier : non, éloigne-toi d'elle ! Mais seul un râle rauque sortit de sa gorge. Alors son fils cracha d'un air dégoûté :

- Mais vous êtes tous aussi égoïstes les uns que les autres ! Et je ne parle pas de votre côté geignard et emporté ! Vous êtes des meneurs fiers et fort et à peine la conversation prend des airs de joute verbal que vous sortez les griffes ! Déjà que je ne vous croyez pas chefs quand je suis arrivé, je me rend compte maintenant que vous n'êtes qu'une bande de chatons ! C'était décidément mieux quand j'avais pas de famille du tout !

Lumière Orageuse ferma les yeux, sentant ces mots le tuer dans l'âme. Il avait déçu son fils et sa soeur, celle-ci était devenue folle, son amour était mort, il avait des neveux et nièces, il se trouvait dans une clairière en pleine nuit, à moitié assommé par les lambeaux de sa famille et de son passé... Il allait bientôt céder, il le sentait. Il sentit le museau de son fils se frotter contre le sien et sa douce voix, si semblable à celle de sa mère :

- Ce que j'ai dis est vrai : cette nuit, tu n'as pas eu l'étoffe d'un meneur. Cependant, tu restera toujours mon père.

Sur ces mots, il quitta le meneur et partit.Le chat argenté se releva et se positionna entre son fils et sa soeur, pour éviter qu'elle ne s'en prenne à lui. Il dit alors d'une voix froide :

- Il a raison. Nous ne sommes plus des meneurs. Tu as raison. Tu n'es plus celle que j'avais connu. J'avais raison. Tu as tout gâché.

Il se tourna et s'engouffra en direction de son territoire.

Le chaton vint à se p;anter devant elle les yeux meconnaissables, la queue battant l'air et seulement des nuances claires lui permettait de mieux se voir.

- Mais vous êtes tous aussi égoïstes les uns que les autres ! Et je ne parle pas de votre côté geignard et emporté ! Vous êtes des meneurs fiers et fort et à peine la conversation prend des airs de joute verbal que vous sortez les griffes ! Déjà que je ne vous croyez pas chefs quand je suis arrivé, je me rend compte maintenant que vous n'êtes qu'une bande de chatons ! C'était décidément mieux quand j'avais pas de famille du tout !

Lumière d'Automne l'ignora parfaitement, elle s'en fichait totalement, elle fit seulement le soin de le contourné et celui ci détourna les talons et poursuit

- Tu ne vaux pas mieux que ceux qui t'on rejeté à ton arrivée dans ta Horde, tu viens de faire la même chose avec ton frère qui cherchait la paix. Tu y a seulement ajouté les griffes.
Elle haussa les épaules avant de le regarder avec les yeux plissés et les souricls froncés mais il continua son discours près avoir épauler son très cher et tendre père, personne n'esseraie de la comprendre et cela l'énervait encore plus, alors qu'elle avançait enrageusement vers son camp là où elle serait beaucoup plus tranquilles, elle attendait qu'une seule chose pour la réjouir, l'odeur de sa Horde et que les autres ferment leurs clapets inssuportables

- Il a raison. Nous ne sommes plus des meneurs. Tu as raison. Tu n'es plus celle que j'avais connu. J'avais raison. Tu as tout gâché.

Elle se retourna les poils hérrisés sur l'échine et le dos rond elle cracha

- Mais tu cherches à me retenir où quoi ? Je ne connais pas plus bavard que toi ! Je pleins ta Horde ! Par la Voie des Lumières, tais toi et laisse moi nfin m'en aller !

Et avant qu'ils puissent répondre l'un où l'autre elle pressa la pas la fourrure au vent la nuit lui murmura d'accelerer et le vent la poussait vers sa Horde. Une odeur qu'elle cherissait tant, les plaines verdoyantes sous la Lune, enfin elle était rentrée et non sans sa mauvaise humeur. Une silhouette agile, finn et rapide fin se placé à coté d'elle seul les yeux dorés et verts luisait avec un reflet bleutésbrillaient au rayons pales de la Lune, la femelle reconnut sur l'immediat un ami très proches : Pelage Bleu ! Ces yeux demandèrent ce qui lui était arriver.

- Plus tard. Souffla t'elle avant de rejoindre la ponpounnière et reprendre ses petits que gardait une autre reine.