Lumière Astrale Admine dévouée & Meneuse de la Nuit sans Lune
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Age : 29 Messages : 32 Localisation : Pays des rêves oubliés Date d'inscription : 13/06/2011
![Tenow's writtens, ou la mélodie des souffrances. Empty](https://2img.net/i/empty.gif) | Sujet: Tenow's writtens, ou la mélodie des souffrances. Sam 23 Juil - 23:28 | |
| Votre PUF : Ténèbres Votre âge : 16 ans Depuis combien de temps sur les forums rpg ? 3 ans et trois quart Quel thème ? Le deux Avez-vous déjà été évaluer ? Nan Votre exercice :RÉDACTION HISTOIRE DE Ténèbres Préambule: Je l'ai faite dans l'optique d'un concours, dont le thème était "La description d'une partie". Je l'ai légèrement modifier pour y rentrer certains mots nécessaires. J'avais trois autres écrits adhérant parfaitement au thème du désespoir, mais j'ai désirer poster le meilleur. Ce n'était pas vraiment le meilleur de mes textes, il est en compétition avec un autre, qui est une fanfiction du monde de Naruto, il est donc nécessaire de connaître un tant soit peu le manga (notamment Nagato et Konan) Pour la comprendre. Si mon noteur connait cela, et s'il le désire bien évidement, je pourrais la poster.
La partie en moi qui me domineLe nom du personnage principal ? Vous le découvrirais quand vos yeux parcourront la succession de lettre que j'ai assemblée. - Une partie ? Qu’elle partie ai-je décidé de décrire ? La partie d’un monde, d’une civilisation d’hominidé, Une partie parmi tant d’autres, unique mais semblable : une vie. Pourtant une vie est aussi un tout, et est faite de plusieurs parties…
« La vie est comme la flamme d’une bougie exposée aux humeurs impétueuses du vent. »
- Comment décrire une seule partie alors qu’elle fait partie d’un tout ? Comment omettre tout ce qui entoure cette partie en elle-même, car ce qui fait celle-ci, et les conséquences qui en résultent ne sont que grâce aux actes des autres parties. Notre cœur est une partie de nous, et sans lui nous mourrons, mais pourtant il fait partie d’un engrenage complexe qui nous permet d’être. Comment l’en dissocier ? Il en est de même pour les sentiments, mais en nous, il y a toujours quelque chose de plus fort, qui décide du chemin que nous emprunterons parmi les milliers d’autres possibilités que nous avons, c’est cette partie-là qui décide de notre destin…
« Il est temps que tu prennes ton envol mais fait attention à ce que, ivre de joie, tu veuilles te rapprocher du bonheur car tu te brûleras tes ailes et la chute n’en sera que trop douloureuse »
Acte I – Rêve
« Les rêves nous aident à mieux supporter le poids de la réalité. Ces chimères qui nous aident, et nous tues à petit feu… »
- Deux syllabes, quatre lettres, deux voyelles et deux consonnes, un accent circonflexe. Rêve.
Un mot bien étrange aux diverses significations, si courant, si facile à dire, qui semble si proche… Pourtant, à chaque fois qu’on croit que notre âme l’effleure, sa consistance se brouille, et son reflet disparaît dans les abîmes du cauchemar. Ou du désespoir, après tout y a-t-il une différence entre ces deux états ? Les années défilent, le temps entre les doigts malingres de chaque petite vie s’échappe, inéluctable. Bonheur et malheur s’entrecroisent, se mêlent pour ne former plus qu’un : le passé. Pourtant, à travers les temps et les âges, une lueur reste encrée dans chaque regard, ténue peut-être, mais présente ; tel la flamme d’une bougie, vacillant aux rafales du vent mais résistant au froid. Le rêve reste présent, enivrant chaque âme de sa lueur douceâtre. La seule vrai chimère qui puisse nous faire oublier la mort… Enfin, pour un certain temps…
- La lumière se dissipa, le noir se referma sur une silhouette allongée. On pourrait croire que cette personne était parfaitement endormie, pourtant derrières sa chevelure brune ébouriffée, se cachait deux yeux azures écarquillés. L’adulte se redressa, de manière saccadée, lente, peinant à respirer. Puis elle s’affaissa un peu, les yeux grands ouverts, comme si elle voyait quelque chose d’effrayant, pourtant, il n’y avait que les ténèbres. Le cadran de son radio réveille émettait une douce couleur cinabre et affichait trois heures et sept minutes.
C’était toujours ce même cauchemar qui venait la hantait, se souvenir du passé, qu’elle désirait tant oublier, sans jamais y parvenir... Hélas… Une heure se passa, puis elle finit par se recoucher, et ferma les yeux. Non, elle n’attendait pas le sommeil, elle le savait qu’il ne viendrait pas, elle comptait juste amener les rêves à elle. Anna, âgée de vingt-huit ans parvenait difficilement à effacer de sa mémoire les fragments de son passé, y gommer les innombrables impuretés de ce vieux dessin. Le passé était une partie d'un tout et elle avait trouvé le moyen de le fuir, même si il revenait toujours, ce cauchemar répétitif, qui ne changera jamais mais qui ne fera que s'accroître... Quand ses yeux se fermèrent, elle créa de son esprit une toute autre vie, elle amenait les rêves à elle. Bien qu'elle sache que cet univers onirique ne lui était pas destiné, que la fatalité avait fait en sorte à ce qu'elle suive un tout autre chemin…
Ploc. Le sol se teintait d'une tâche écarlate grandissante. Une masse sombre baignait en son milieu, des cheveux platine masquaient un visage pâle, effrayé. Habillait tout de noir, portant un masque immaculé, Anna tenait dans sa main une dague souillée de sang qu'elle essuya sur le rideau à côté d'elle. Tournant les talons, et tout en se glissant dans les rues sombres et froides de la banlieue où elle vivait, son masque cachait les larmes qui coulaient de ses yeux azurs. Depuis combien de temps devait-elle tuer pour le compte d'un gang ? La fatalité l'avait emmaillotée dans une spirale infernale: tuer ou être tuer. Elle n'avait qu'une seule échappatoire: le rêve... Un passé jonché d'âmes fauchées, un présent lugubres et un futur incertain et vacillant. Voilà tout ce qui lui était réservé, ni plus, ni moins. Quand elle regarda la lune, peinant à transpercer les lumières de la ville et les nuages de pollutions, l'impatience la prise, tout ce qu'elle voulait c'était s’échapper.
« Toujours à rêvasser Anna ! » Son supérieure affichait une mine sarcastique, accroupi sur la rambarde de son balcon, il était sans doute venu lui donner une liste de personnes à éliminer. La jeune fille fit un mouvement brusque de la tête pour enlever la mèche brune qui la dérangeait, après tout, elle se coupait ses cheveux elle-même, et cela donnait une crinière très éparse n'allant pas plus bas que ses épaules. Recrachant avec dédain la fumée qui empoisonnait ses poumons et prenant une nouvelle bouffée de nicotine, elle attrapa l'enveloppe avec nonchalance que lui tendait son patron. Aucun son ne franchit sa gorge et lui partit tout aussi silencieusement. Regardant de nouveau la voûte céleste, elle se replongea dans son monde onirique. Le rêve n'était plus qu'une simple partie qui formait son tout, non les chimères faisaient parties d'elle, et elle faisait partie des chimères.
Après tout, la vie était une bien piètre joueuse… Sans cesse à se battre contre la mort, tel un jeu d’échec, où les pièces blanches, représentantes de l’ombre pâle fatidique, happaient les pions noirs et autres pièces.
Sans réellement y penser, le sang continuait de souiller son destin, tout ce dont elle avait besoin c’était de son monde utopique. Pourtant, plus le temps passait, et plus rêve et réalité se confondaient et son univers chimérique se teintait d’une couleur écarlate, et tel une tâche d’huile, se répandait sur les boulevards des songes.
Acte II- Passé
« Les blessures physiques sont mortelles et entraînent la mort Les plaies qui fendent le cœur entraînent une lente agonie. »
- Le passé est ce qui forme chaque être, c’est le pourquoi de son existence. Mais parfois il est préférable de ne pas y penser, car l’avant de notre existence, qui ne cesse de croître de seconde en seconde, agît telle la pire des tortures…
En générale, chaque être vit au présent, certains ne pensent qu’au futur, et d’autre restent plongé dans le passé. Mélancolie ? Cauchemar éternel ? Oubli ? Milles raisons sont donnés, et Anna a le sienne…
- Une tâche, écarlate, qui ne cessait de croître. Elle souillait la quiétude du paysage immaculé, elle salissait le souvenir de cette journée, elle encrassait la neige scintillante et tachait l’espoir d’une vie heureuse. Il était vingt-trois heures et il neigeait. Accompagnée de ces deux parents, et âgée de dix ans elle marchait joyeusement appréciant le froid qui lui brûlait la peau du visage et admirant les flocons presque aussi gros que ces petites mains tomber du ciel. C’était la première fois qu’Anna voyait la neige, et la dernière fois…
Une simple escarmouche entre deux gangs, des coups de feu, des balles perdues, et deux innocents étendus sur le sol. Leur corps froids disparaissaient sous du blanc impure, et Anna, une balle dans l’épaule, encore consciente fixait le sol. Sa main trempait dans le sang de sa mère, ou de son père, elle ne savait pas, sa vision était floue. Allait-elle seulement vivre ? La seule certitude qu’elle avait, était que si elle vivait, plus rien ne serait comme avant, et le passé serait toujours présent… Le temps passa, et se souvenir resta ancré dans sa mémoire, dans le présent tel un ennemi invincible, un poison douceâtre qui la tuait à petit feu. La poupée innocente qu’elle était venait de tomber de son étagère, le choc lui laissa de profonds sillons, mais personne ne vint la ramasser… Ses parents étaient sa seule famille, et on l’avait placé dans un orphelinat qui avait déjà trop d’enfant. Très vite mise à l’écart, on se souciait peu d’elle, et peu à peu elle se rendit compte à quel point ce jour avait bouleversé sa vie. Et peu à peu naquit en elle se sombre désir de vengeance… Cette solitude l’accaparait, à chaque moment, chaque seconde, le passé faisait partie d’elle, la mélancolie, les jours heureux qu’elle avait vécue et ce jour où elle avait tout perdue. La douleur insondable qui martelait son cœur, les yeux vides de ses parents, peut-être aurait-elle préférer partir avec eux. Mais ses parents avaient préféré la laisser dans ce monde… Très vite, la douleur emporta ses pas dans les coins mal famés de la ville, la jeune fille apprit à se battre, avec ou sans armes, son regard devint plus froid et elle devint experte en combat après quelques années.
Comment Anna était-elle parvenue à acquérir un tel niveau ? Cela n’était pas intéressant, il faudrait plutôt s’attacher aux conséquences…
La bande qui avait tué son âme avait était évincé par la combattante, comment les avait-elle retrouvé ? Elle-même ne s’en souvenait plus. Mais l’engrenage de la mort l’avait engloutie, et bien vite elle dû faire face à un piège mortel. Tué ou être tué… Voilà les conséquences de son passé, de cette partie qui la dominait, l’empoisonnait et la torturait. Même au présent elle vivait encore cela, de cette âme morte tâchée de sang, de ce destin jonché de cadavre et de solitude, de cet engrenage qui n’avait que deux échappatoires : le rêve et la mort. Anna opta pour la première solution, mais n’est-il pas bien connu qu’un rêve n’est et ne restera qu’une chimère, une utopie ?...
Acte III- Espoir
« L’espoir n’est qu’une bête invention de l’homme pour donne un but à la vie Nous nous leurrons en pensons l’avoir au creux de notre cœur, mais ce n’est qu’un rêve comme les autres. »
- Une fois que l’on a gouté à l’espoir, il est presque impossible de s’en séparer. Comme le rêve… Sauf que l’utopie étouffe, et que l’espoir disparaît brutalement, par un coup du sort.
Cette partie complète à merveille les chimères : elle les embellies, elle offre un avenir et pose une chape de brume sur le passé, les cauchemars et la lugubre vérité de la vie.
« Nous sommes pareil. »
- Ces paroles, elle s’en souviendrait éternellement. La pluie martelait l’univers grisâtre où évoluait Anna. Elle aimait la pluie, et chaque fois que ces petites perles tombaient du ciel, elle restait dehors et appréciait la sensation des gouttelettes s’incruster dans ses yeux, lui voler sa chaleur, et voir le paysage contrasté. Le bruit de la pluie avait un effet apaisant, reposant. Soon se tenait à ses côtés, et tout deux estimaient la présence de l’autre.
C’était un garçon âgé de deux ans de plus qu’elle, cheveux de jais, ébouriffés, visage fin et fermé, yeux gris. Un peu grand, maigrelet mais solide. Son passé était semblable à Anna.
Comment s’étaient-ils rencontrés ? Pourquoi avaient-ils confiance l’un en l’autre ? Se serait trop long à expliquer, et inutile, le principal était le résultat : l’Espoir.
Ils n’étaient pas vraiment amis, tous deux n’en avaient aucun eux par ailleurs. Ils ne s’aimaient pas non plus. Ils étaient là, et se comprenaient, leur âme était semblable : détruite et terne. Soon avait brisé le silence en soufflant cette phrase, et tout deux sourirent. Ce n’en était pas un vrai, étiré jusqu’aux oreilles, mais un petit étirement des lèvres presque imperceptible mais qui voulait tout dire. C’était ainsi que naquit l’espoir. Innocemment cette petite chose qui était censée être restée enfermée dans la boîte de Pandore, grandit. C’était un espoir étrange, ils savaient que leur avenir resterait jonché de mort, mais au moins ils étaient là, ils vivaient la même horreur et se comprenaient. Ensemble leur malheur se gommait et ils se sentaient apaisé, comme les jours de pluies. Le gouffre qui fendait leur cœur se refermait peu à peu, telle une vieille cicatrice qui s’estompait enfin. La vie devenait plus agréable au final, du moins, ils commençaient de nouveau à vivre, et n’étaient plus de simples pantins perdus dans leur univers chimérique. Quand la réalité commençait à briser la frontière des rêves, ce sont les utopies qui sont venus brouiller le monde réel…
Acte IV - Mort
« La vie, un simple enchevêtrement entre les rêves et les désillusions, un être qui clame sa souffrance, qui attend une lueur, une aide, que seul la mort lui apportera. »
- Elle est le reflet de la vie. Tout être vivant finira par mourir, tout le monde le sait, le destin est inéluctable. De ce fait, nous portons tous la mort en nous, et elle nous accable tous, même si parfois on ne s'en rend pas compte. Elle fait partie de nous, pourtant certains cherchent désespérément de la fuir, et d'autre tentent de s'approcher... Elle fait peur car elle est inconnue, elle semble désirable car beaucoup espèrent y trouver l'oublie. Espèrent... Voilà un espoir bien sombre, pas du désespoir non, juste l'espoir des vaincues, ceux dont le destin n'a pas été clément.
Pourquoi certaines personnes souhaitent tant connaître l'oublie, le repos ? Comment la haine et la douleur peuvent-elles atteindre un tel seuil ? Mort. Un mot bien anodin, courant, elle est partout après tout, elle se glisse telle une ombre blanche et happe les âmes meurtries. Elle est bien triste la mort, et cette part de tristesse, elle fait partie de nous...
- Une larme tomba. Elle chuta d'abord sur la joue pâle et glissa, lentement, comme si elle-même n'osait bouger dans cette scène figée. Elle brilla un dernier instant, avant de se perdre dans une petite flaque écarlate qui fuyait le corps encore chaud du défunt et se perdait dans les dédales des pavés. C’était une de ces nuits de février, froide, silencieuse, morne. Aucun bruit ne venait déranger le spectacle lugubre, pas un mouvement ne venait bercer le tableau. Rien, seulement le vide et la douleur.
Une rafale, brusque et vive, froide aussi, ébouriffa les cheveux bruns d’Anna. Les yeux hagards, des larmes coulaient de ses deux ciels ternes. Ils regardaient le sol sans vraiment le voir, elle observait ce visage sans l’apercevoir. Elle fixait ces yeux blancs, sans pupilles et écarquillés sans parvenir à penser, à faire autre chose. Une chevelure de jais tâchée de sang, un visage blafard, surpris et immobile. Le tout posé sur un corps ayant perdu sa chaleur depuis peu, très peu ; vêtu d’une tenue ébène ni très épaisse, ni trop légère. Une simple balle dans la tête et tout était finit, un simple muscle du doigt qui se contractait et la faucheuse abaissa sa faux, happa cette âme comme elle le faisait avec tant d’autres. La jeune fille ne se souciait plus du meurtrier de Soon, il était partie avec lui, tous deux voguaient désormais sur l’océan de l’oubli.
Et elle, elle était là. Et la chape de brume disparue. Et le passé frappa. Et la cicatrice réapparue. Et le rêve s’envola. Et seule la mort lui resta. Et elle, elle était là.
Que lui restait-il ? Une vie tâchée de sang, une âme détruite et morte depuis longtemps, et la souffrance. Seulement cette douleur poignardante, lancinante, se poison invincible qui coulait en ces veines. Comment les rêves avaient-ils pu lui faire oublier cela ? La réalité la frappa, depuis le début, elle aurait dû mourir, depuis le début, son existence était futile, inutile. Anna hoqueta, suffoqua de chagrin et de douleur, son cœur s’émiettait en même temps que son esprit. S’affaissant sur le sol, elle regarda le ciel, les immeubles. Cette nuit grise lui ressemblait tant, ce paysage était comme son âme : un univers ni blanc, ni noir, sans chaleur et insipide, triste. Elle était perdue, tout en elle sonnait comme un effroyable chaos, martelait son cœur, la détruisait elle. Elle n’était plus rien, et seule une certitude lui faisait face : seule la mort la sauverait. Difficilement elle prit la dague qui dormait près de sa hanche et la pointa sur sa gorge, comme si la souffrance l’écrasait de son poids, comme si elle était noyée dans un océan de douleur. Elle n’avait plus d’air, il ne lui restait que la mort, la seule chose qui faisait partie à part entière dans son âme et qu’elle appréciait. Le sang éclaboussa sa peau fraîche et une nouvelle douleur, moins forte l’emporta. Au loin un bruit d’ambulance, ou de police retentissait. Elle sourit, ils arrivaient trop tard. Sa vision se brouilla, son esprit devint confus, plus d’odeurs, plus de bruits, plus de goût. Sa main trempait dans du sang. Celui de Soon, où de ses parents ? Où était la réalité ? Une horloge sonna vingt-trois heures, dernier bruit qu’elle entendit. De faibles picotements légers la parcouraient, et peu à peu un tapis blanc se forma sur son corps presque froid, presque mort. Anna ferma ses yeux et se laissa emporter par l’oubli, la douleur, dernière à rester s’estompa et disparue, un sourire serein imprégna son visage. La neige emplie la scène de quiétude et continua de recouvrir les deux corps comme si de rien n’était. Le rouge devint blanc, et les flocons voletèrent, et la mort repartie, chercher d’autres âmes.
Ténèbres Ici vous pouvez ajouter vos RPs qui vous plaisent afin d'orienter votre professeur (3 rps maximum. Histoires interdites) : - A simple Poisoned Life (Chante Lune, lieutenant du Tonnerre au passé difficile qui continue de la hantait, prise de crise de folie)- 28 mars 2010-:
Ploc
La vie s’évanouissait peu à peu dans ce corps frêle. C’était si fragile, si facile.
Ploc
Le sang formait un tâche écarlate sur le sol grisâtre, elle s’agrandissait, aussi vite que la mort happait l’âme de cette pauvre créature.
Ploc
Elle s’arrêta de gesticuler. Elle venait enfin de comprendre que la vie en elle même était vain. Son espoir était mort, il ne restait plus qu’elle le suive.
Ploc
Son dernier soupir venait juste de franchir la barrière de son museau, plus jamais elle ne reverrait la lumière du jours.
Ploc…
« Tu es bien chanceuse de voir la mort maintenant, car crois moi, la vie de vaut pas d’être vécu. Tu vas enfin pouvoir te réveiller, ton cauchemar est fini. Quant à moi, il ne me reste qu’à admirer ta chance et continuer de vivre. Oui, mourir est quelque chose de beau… Quand est-ce que je pourrais me réveiller à mon tour ? »
Le lieutenant du clan du Tonnerre était en train d’observer sa proie, couchée sur le sol, en face d’un écureuil mort qui venait tout juste de recevoir un coup de griffe mortel sur sa tempe. Mort, il était mort, et elle l’enviait. Plus le temps passait, plus elle se délectait de voir mourir ses proies, elle ressentait une sorte de bonheur en elle-même, car elle était persuadée de les rendre heureux… Parfois, Chante Lune avait peur d’elle même, de ce qu’elle ressentait en tuant, de ses crocs et ses griffes, de cette envie de sang, de son passé. Elle se leva et vint observer la petite flaque de sang qui reflétait son image. Elle vacilla, recula; ce n’était pas elle qu’elle avait vue, mais son frère quand il s’était délectait de voir la souffrance d’elle et sa sœur. Oui, plus le temps passé, plus elle ressemblait à son frère… Et le comprenait. Tout cela l’effrayait et elle donna un coup rageur dans la flaque de sang, mais un miaulement de terreur franchit sa gorge et elle nettoya rapidement les tâche de sang qui assombrissaient un peu plus son pelage encre. La minette avait peur de la mort et du sang, de cette hémoglobine qu’elle avait fait couler. Plus que de son frère, elle avait peur d’elle même, car elle devenait sanguinaire, et elle ne voulait faire plus de mal qu’il n’en avait été fait. Pourtant, mourir devait être si bien… Elle se sentait devenir folle.
Une rafale ébouriffa son pelage, et un doux rire tinta dans ces tympans. Heureusement que sa sœur était là, car sinon elle deviendrait folle pour de bon. Seul le rire de défunte frangine parvenait à lui redonner la raison, mais ces derniers temps, il se faisait plus rare… La combattante se décida à manger sa proie, avec dégoût néanmoins. Après avoir enterré les ossements de la pauvre créature, elle se mit à courir à un rythme effréné. Depuis l’attaque du clan de la Nuit, elle avait toujours était seul ou entourée de traîtres; bien qu’elle en était une elle-même par rapport au clan du crépuscule. Maintenant, elle avait peur de tuer les membres du clan du Tonnerre, souvent elle eu envie de le faire, souvent elle s’éclipsa en pleine nuit. Courir l’épuisait, et la fatigue posait une chape de brume sur ses pensées, ses envies. Tout ce qu’elle voulait c’était de s’arrêter, de mourir. Elle courut pendant longtemps jusqu’à ce que ces pattes rencontrent le sable jaunâtre, et ce ne fut qu’une fois après avoir franchi les premiers mètres dans le désert qu’elle finit par s’effondrer. Haletante, le museau entre les pattes elle laissait le sable lui meurtrir les yeux, qu’importe, elle voulait être seule. Chante Lune reste longtemps ainsi, pleurant toutes les larmes qui lui restaient, abandonnant pour un fois son air stoïque et se laissa aller, elle avait tout perdue, tout, et même si elle était lieutenant, elle le savait que sa place n’était pas dans se clan, elle n’y était pas née, pour eux, elle n’était qu’une vulgaire solitaire. Ils ne connaissaient pas son passé, ils ne pouvaient pas savoir. Si ils le savaient de toute manière, qui lui ferait confiance. Traître un jour, traître toujours. Au final, la minette était comme son frère, sauf que c’était lui qui l’avait poussé à bout. Elle était lasse, tellement lasse; tout était vain en se bas monde, rien ne valait la peine. Tout n’était que sable autour d’elle, même le vent en était chargé, elle s’y sentait bien. En guise de plafond, elle avait une merveilleuse voûte céleste qui dardaient ces milles petites lumières sur la Terre; et une lune somptueuse achevait se paysage merveilleux. Seul le vent venait déranger le silence, tout était si calme, le désert était beau, elle y était bien. Seule. C’était un endroit parfait pour mourir, pour se laisser mourir . Le lieutenant décida qu’elle mourait ici, elle ne cilla pas, et elle attendit. Que le temps était long, pourquoi ne pouvait-elle pas arrêter de souffrir une bonne fois pour toute ? Elle n’arrivait à trouver le sommeil, et elle commençait à avoir soif, qu’importe, elle ne bougera jamais d’ici. Elle laissa ses pensées vagabondaient dans le passé, dans ces lointains souvenir où elle était encore heureuse et insouciante. Et puis, elle se souvint de ce que leur père disait souvent. Elle se le répéta à voix haute.
« Il faut sourire au monde, pour pouvoir aller de l’avant, ce n’est pas avec la haine ou la tristesse qu’on ira bien loin, ne l’oubliez pas »
Dans un hoquet de chagrin, elle leva ses yeux gris brillants de tristesse, et elle articula, comme un message pour son père.
« Mais moi, je ne veux plus aller de l’avant, ça fait mal, tellement mal au cœur, je ne veux pas, je veux être avec vous. »
Le vent envoya une gerbe de sable dans yeux, la combattante les frotta avec ses pattes, et reposa sa tête sur le sol, couchée sur le sable, attendant la mort. Cette rafale, un instant Chante Lune se dit que c’était sa sœur, qui désapprouvait son acte. Alors elle décida de lui parler, on doit s’ennuyer quand on est mort. Cela doit être palpitant d’observer la souffrance des vivants.
« Et toi Rire Mélodieux? Es-tu heureusement dans le ciel ? Tu sais, je suis désolé d’abandonner, mais je ne peux plus, je suis lasse crois-moi. Mais n’oublie pas, toi tu es le rire du vent et moi je suis le chant de la lune, tu n’auras qu’à observer la lune pour m’entendre chanter, mais ne t’attend pas à une sonate joyeuse, mais plutôt à un Requiem. »
Le vent se leva de nouveau tel un grondement, mais la chatte ébène ferma les yeux cette fois-ci. Et elle plongea dans un sommeil étrange où la mort n’était que la seule issue de sortie. N’était-ce pas la réalité? Chante Lune ne savait que répondre, elle flottait, elle attendait voilà tout. Le soleil était à son zénith, elle se sentait toute engourdit, après tout elle n’avait pas bouger, et elle ne comptait pas bouger. Elle se sentait affaiblit, mais sa peur d’elle même avait disparut, tout comme son envie de sang ou sa tristesse. Elle était vide, voilà tout. Elle était devenu le désert et ne faisait qu’un avec lui. Pourtant, une présence vint troubler sa lente agonie, elle percevait les pas qui foulaient le sable. L’odeur que lui apportait le vent était celle d’un matou du clan du Tonnerre, Bois de Cerf plus précisément, le guérisseur. Intérieurement elle grommela, mais décida de ne pas bouger. rien ne pourrait la faire bouger, absolument rien .
« Quand une âme est malade, on connaît déjà son sort Voici la preuve formelle de l’existence des tragédies. »
- Suite du rp, après réponse du guérisseur du Tonnerre (Bois de Cerf) - 24 mai 2010:
« Eh bien, Chante Lune. Drôle de posture pour un lieutenant qui a juré fidélité à son Clan … »
Le guérisseur du Tonnerre lui faisait face, le sourire narquois et le regard ironique, il fixait le lieutenant. Elle, elle le fixait, d’un regard froid, indifférent et terne. La lueur qui y brillait avant, il y avait bien longtemps s’était depuis bien longtemps éteinte, laissant la chatte là, dans un gouffre de désespoir immense. Elle ne bougea pas, ne cilla pas, ne pipa mot. La minette préférait laisser le silence s’installer entre eux deux tandis que le vent chargé de sable jouait avec son pelage angora. Le soleil dardait ces rayons sur cette plage infinie et desséchée, le sol était immobile, avait l’air de s'être arrêter net un jour où il ondulait joyeusement. Des collines, des monticules de sables, tout d’or ternis et d’azur. Seules les rafales insatiables brisaient le silence. Etait-il devenu pesant ? Le lieutenant ne savait que dire car elle, elle supportait ce silence. Mais parfois il ne fallait pas abuser de ce calme. Chante Lune constata qu’elle ne s’était pas redressé pour saluer le guérisseur du clan, et qu’elle lui manquait considérablement de respect ainsi. Qu’importe pensa-t-elle, je vais mourir d’ici peu…. Elle pensa a rétorquer une éventuelle réponse, une réplique aussi cinglante que celle de son protagoniste. Elle avait donc juré fidélité à son clan ? Oui peut être, mais ne dit-on pas que l’on ne peux avoir que un seul clan et qu’il restera à jamais le sien ? Elle ne pouvait être fidèle au clan du Tonnerre, car ce n’était pas son vrai clan. La chatte au pelage encre émit un petit rire sarcastique et se tue. Sa gorge était de feu à cause du manque d’eau, et ces poumons étaient irrités à force de respirer du sable, émettre quelconque son lui était douloureux. Qu’importe, si c’était le prix de la mort.
Le lieutenant finit par humer l’air, elle tendit ses oreilles, chercha le rire cristallin de sa sœur, rien. Seul le mugissement inlassable du vent venait brimait le silence. Pas un éclat de voix, aucune présence du passé, rien, seul le néant. Alors elle darda un regard sardonique sur Bois de Cerf, il y avait bien une pointe de tristesse, de mélancolie ; mais qu’elle était son importance face à l’importance de cette lueur infernale ? D’une voix éraillé et cinglante, un sarcasme l’état pure, comme elle les aimaient, elle rétorqua
« Un lieutenant ayant jurer fidélité à son clan ! Voyez-vous ça ! et si j’ai juré fidélité à trois clans, et que deux de ces clans sont détruits ? Que je suis la seule survivante, et bien je reste fidèle à eux ! »
Elle tremblait, baissa la tête, la douleur la submergea. Elle cru étouffer, comme si elle était enveloppé dans une chape de souffrance, comme si le passé tout entier l’engloutissait dans les abîmes du supplice. Ô comme elle désirait tant en finir, tout abandonner et sentir enfin la douce sensation qu’offrait la sérénité, le doux réconfort qu’elle avait connue dans le passé, dans son enfance. L’insouciance. À la fois si beau et paisible, c’était un océan de bonheur, on s’y laissait emporter doucement, mais ensuite on ne voyait plus où il nous menait. C’était un océan qui se jetait dans un autre, celui de la désillusion, c’était inéluctable. Une envie de criait la pris, de hurler. Non, ce n’était pas une envie de crier, mais de tuer, oui, elle voulait faire subir à tous ce que elle, elle avait vécue, leur faire comprendre le véritable sens du mot souffrance, effacer ces sourires, supprimer ces rires tous aussi illusoires et candides les un que les autres. Qui était-elle réellement ? Une question qu’elle se posait souvent. Puis Chante Lune luta, non elle ne devait pas tuer, elle en avait peur, elle avait peur d’elle même. Tout ça à cause du passé, à cause de son frère qui lui a soutiré toute chance d’être un jour heureuse. Elle releva la tête, jeta un regarde de haine et de douleur envers le guérisseur.
« Pourquoi veux-tu rappeler le passé ? Ne croies-tu pas que j’en ai eu assez comme ça ? Non tu ne peux pas savoir. Aucun de vous ne peut savoir la véritable sens du mot souffrance ! AUCUN DE VOUS NE PEUT SAVOIR CE QUE C’EST QUE LA DOULEUR ! »
La minette était essoufflée, sa gorge la brûlée, ces poumons étaient de feu, et elle restait là, pantoise, fixant le sol les yeux écarquillés. Elle devenait folle, c’était comme si elle se voyait dans un reflet, elle voyait sa chute peu à peu. Non, jamais elle n’avait réussi à surmonter ces épreuves, jamais. Elle avait juste fait mine de les oublier, d’ignorer le passé, ô mais malheur à qui voudrait effacer le temps passé, car celui-ci, en guise représailles revenait vous empoisonner. Puis peu à peu votre esprit devenait fou, ce poison là, qui circulait dans ses veines à elle, était un mélange frauduleux, de la rancœur, de la mélancolie mais l’élément de base était la douleur. Qu’elle haïssait le passé et la vie. Chante Lune fixa son interlocuteur, ces pupilles étaient un mélange entre la haine et la douleur, elle attendait une réponse, et quoi que ce félin répondrait, elle répliquera un sarcasme, elle en avait marre, elle en pouvait plus, elle voulait être seule.
- Encore une réponse (dernière car le rp a été archivé) - 1 novembre 2010:
« Relève-toi, Chante Lune »
La voix du guérisseur était douce, presque aurait eu t-elle envie de se lever devant cet élan de gentillesse. Mais il aurait mieux fait de ne pas briser le silence, il faisait partie du désert et cette quiétude était si agréable… Chante Lune ne fit rien, elle ne daigna même pas bouger ses oreilles, le museau collé contre le sable, la respiration calme. À quoi bon lui répondre ? Il faudrait lui expliquer tout son passé pour qu’il comprenne, et encore… Oui, ne pas répondre était la meilleur solution, après tout, il lui fallait mourir. C’était sa meilleur vengeance : ainsi morte elle pourrait enfin se repaître de la souffrance des vivants, de ce monde de traîtres et de victimes. Ô, comme elle prendrait un plaisir fou à observer ces myriade de vies, les voir se débattre, aimer et souffrir, croire au bonheur ; et mieux encore, ne pas percevoir la mort. Son absence de réponse eu l’air d'irriter le matou, car celui-ci lui ordonna d’une voix dure que seuls les êtres ayant connus la souffrance pouvaient avoir.
« Je t’ai demandé de te lever, Chante Lune »
Ho ! Alors comme ça cet importun se permettait de hausser la voix et lui donner un ordre ? Elle ne pu s’empêcher de ronronner d’amusement, un rire cynique franchit sa gorge desséchée. Qu’est-ce qui l’avait poussé à agir ? La folie, ? La fatigue ? La haine ? La souffrance ? Personne ne saurait le dire et pas même le lieutenant. En un bond souple elle se leva et fit face à Bois de Cerf, et bien qu’il fut plus grand qu’elle, elle le toisa et afficha un sourire sardonique. Ces griffes s’enfonçaient dans le sable chaud, qui virevoltait hors de son pelage aux poils légèrement négligés. Une effroyable haine étaient en train de s’emparer d’elle, toutes ses années de souffrance, tout ce temps où elle avait combattue son désir sanguinaire brisa la barrière de sa conscience. Tout un flot se déferlait en elle, la noyait, l’empêchait de respirer et lui faisait perdre toute raison, aussi infime était-elle. Son esprit n’était que spectateur, et ce ne sera que plus tard que son erreur l’accablera, pas pour l’instant, ho ça non ! Tandis que sa queue fouettait l’air devenu lourd du désert, elle plissa ces deux pupilles onyx et afficha un visage dédaigneux. Une voix froide franchit sa gorge, un peu enroué et pâteuse à cause du manque d’eau.
« Je ne savais pas qu’un simple guérisseur se permettait de donner des ordres ainsi. »
Elle marqua une pose, et tendit ces muscle, prête à attaquer.
« Si tu savais tout ce que la haine pouvait faire, un rire rauque franchit sa gore, beaucoup trop de sang a coulé et continuera tant que des êtres vivants se débattent et survivent. »
Un silence. Elle attendait que ces paroles fassent effet dans cette cervelle de souris, puis au moment où il allait rétorquer quelque chose ; de stupide très certainement ; elle reprit, d’une voix froide et marquée par son passé.
« Ne dit rien, ce ne serait que des paroles d’imbéciles. Non, voies-tu la haine as tué tout ceux que j’aimais, et j’avoue faire moi-même partie de ce que tous appellent traître. Ho, pourquoi je te raconte ça ? Pour que tu sache tout simplement que ce n’est pas en me donnant ce simple ordre que tu m’aideras beaucoup. Je continue donc, la haine m’a aveuglée, empoisonné et j’ai tué, car eux le faisait par simple ambition, moi par vengeance. »
Le lieutenant découvrit ses crocs en un sourire carnassier, et répondit avec fureur.
« La vie est une agonie en elle même, et l’espoir, tel la lumière nous aveuglent. Misérable chats, la vrai souffrance est quand on a compris que la vie était veine et la douleur immuable. Seul la mort est notre échappatoire, notre repos. Elle leva la tête vers le ciel, qui cachait encore la toison argentée, et ronronna, son regard devint triste. Tu ne t’es jamais demandé, pourquoi les mort se plaisaient-ils a observer notre souffrance, pourquoi se délectaient-ils de nos pleure ? Car ce n’est que par simple vengeance. Un mot bien venimeux, douloureux. »
Avec force, Chante Lune envoya un coup de patte dans le sable, le faisant voler entre les deux protagoniste, elle voyait rouge et ces yeux était le reflet même de son courroux, et elle hurla, autant pour sa sœur, pour son frère, pour elle ou encore pour Bois de Cerf.
« Je vous hais tous, autant que vous êtes ! Pendant ma misérable existence je n’ai fait que subir et souffrir, il temps pour moi de me débattre et de faire sombre avec moi des êtres dans les abysses de la souffrance. »
Le guérisseur était près lui aussi à se battre, prêt à parer un coup, une lueur d’incompréhension passa dans ses prunelles vertes, puis se raffermit. La minette laissa échapper de sa gorge un rire cynique ainsi qu’une ronronnement amusé, elle darda sur lui un regard diabolique. Le peut d’esprit qui était encore vivant dans ce corps n’était plus, comme enfermé, dans un coin de sa tête une petite chose se débattait, essayer de reprendre le contrôle. Non sa conscience était impuissante face à cette haine et ce désir de sang. Encore une fois, elle empêcha le chat gris de reprendre la parole et repris.
« Non, je n’ai nullement l’intention de te tuer, pas la peine de te mettre en position de combat. Non, je ne suis pas là pour commettre un tel acte aussi ignoble, bien loin de là. Elle contracta ses muscle et plissa ces yeux, je vais te faire un présent, après tout tu es un loyal guérisseur non ? À moins que je ne me trompe ? Étoile parmi les étoiles, astre perdu dans une myriade de points blancs. Pourquoi ne serais-ce pas à ton tour de rigoler des vivants ? L’oublie de la douleur est un cadeau bien honorifique tu ne trouve pas ? »
Ces rp sont vieux, mais j'ai connue une forte inactivité par la suite par manque d'inspi au niveau des rp, Enfin, maintenant, j'ai de nouveau des perso qui m'inspire, comme Lumière Astrale ressemblant à Chantilly *ne sait pas jouer longtemps des personnages pas désespérés* xD | |
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